Non, Valérie Trierweiler n'a pas détruit le mobilier de l'Elysée
Le Mobilier national a démenti sur Facebook une rumeur selon laquelle la Première dame avait cassé de nombreux objets, par colère.
Il souhaite stopper net la rumeur selon laquelle Valérie Trierweiler, ivre de colère, aurait détruit le bureau présidentiel de François Hollande, après les révélations de Closer sur une liaison supposée du chef de l'Etat. Le Mobilier national a démenti, mercredi 22 janvier sur sa page Facebook, "la rumeur qui circule sur internet, relative à une supposée destruction de mobilier au palais de l'Elysée". Selon le service, elle "repose sur des éléments totalement mensongers".
Lundi, une lettre anonyme a été publiée sur internet, raconte Le Figaro. D'après son auteur, une dispute aurait opposé "Valérie T à François H" dans le bureau du chef de l'Etat à l'Elysée et dans le boudoir d'Argent attenant. Le texte raconte que la Première dame aurait jeté à terre des vases, des pendules et de nombreux objets d'art appartenant aux collections du Mobilier national. La missive donnait même le coût du préjudice : trois millions d'euros.
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