Ligue des champions : revivez la défaite du PSG face à Barcelone
Comme il y a deux ans, les deux équipes se sont retrouvées pour une place dans le dernier carré. Les Parisiens espéraient une issue différente...
Ce qu'il faut savoir
Comme on se retrouve. Le PSG et le Barça s'affrontent en Ligue des champions pour la cinquième fois en deux ans. Cette fois, mercredi 15 avril, c'est en quarts de finale. Un match que les Parisiens doivent absolument gagner pour satisfaire les ambitions de leur président, Nasser Al-Khelaïfi. Pourtant, l'équation s'annonce compliquée.
Paris ne doit pas encaisser de but à domicile
Les deux dernières saisons, le PSG s'est fait éliminer à ce stade de la compétition à cause des buts marqués à l'extérieur. Cette fois, la défense parisienne doit demeurer hermétique pour préserver ses chances au match retour. "Quand tu reçois au match aller, il ne faut pas prendre de but", martèle Laurent Blanc, l'entraîneur parisien. Pas évident : les deux dernières fois que Paris a reçu Barcelone, il a encaissé deux buts.
Le PSG décimé au milieu de terrain
Les principaux artisans des succès parisiens en Coupe d'Europe jouent dans son milieu de terrain. Mais du trio magique Thiago Motta-Verratti-Matuidi, seul le dernier évoluera sur la pelouse du Parc des Princes, en raison des blessures et des suspensions. Le jeune Adrien Rabiot et le souvent blessé Yohan Cabaye vont avoir la lourde tâche de les remplacer.
Un deuxième exploit en un mois ?
Battre Chelsea, dans des circonstances difficiles et face à un des meilleurs entraîneurs d'Europe, a reboosté la confiance des Parisiens, qui jouent beaucoup mieux depuis un mois. "Le match contre Chelsea nous a donné beaucoup de confiance, c'est un exploit dans un endroit et un stade difficiles, confie le défenseur Maxwell, cité dans Le Parisien. On ne doit pas abandonner notre philosophie de jeu. Il faut profiter de l'opportunité de jouer ici, à la maison, à Paris, sur une pelouse magnifique. C'est un match fantastique à jouer et on va tout faire pour que le club dispute une demi-finale." L'objectif minimal fixé par les dirigeants, qui avaient demandé à Laurent Blanc de "faire mieux que l'année dernière".