Cet article date de plus de douze ans.

Vidéo Louis Gallois défend son rapport dans le JT de France 2

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 3min
DLTFTV_MAM_2756839 ( France 2)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

" Je suis là pour donner mon opinion, c'est au gouvernement ensuite de choisir." Louis Gallois est venu commenter son rapport sur le plateau du JT de 20 h de France 2 ce mardi, journal présenté par Julian Bugier. "Je n'isole pas le coût du travail, il y a d’autre coût, il y a le coût de la fiscalité, il y a le coût de l’énergie, il y a le coût des matières premières, il y a le coût des services, Il faut avoir une vision globale". 

COMPETITIVITE - Louis Gallois est venu commenter son rapport sur le plateau du JT de 20 h de France 2 ce mardi, journal présenté par Julian Bugier. "Je n'isole pas le coût du travail, il y a d’autres coûts, il y a le coût de la fiscalité, il y a le coût de l’énergie, il y a le coût des matières premières, il y a le coût des services, Il faut avoir une vision globale. Je propose une mesure d'urgence qui permette de relancer l’investissement : donner des marges de manœuvre aux entreprises pour qu’ elles puissent  investir. C’est ça qui est L'important" . C'est ce qu'a déclaré le commissaire général à l'investissement.

"J’attends de voir ce que le gouvernement va décider demain" a affirmé Louis Gallois sur une question concernant l'utilisation qui serait faite de son rapport par le gouvernement. "Il faut aller vers un patriotisme qui permette de regrouper le pack français. Je suis un amateur de rugby, quand le pack n'est pas regroupé, les arrières ne peuvent rien faire." a-t-il-ajouté.

A propos de l'exploitation du gaz de schiste, Louis Gallois propose "qu'on travaille sur les techniques d'exploration et d'exploitation du gaz de schiste" en s'associant aux Allemands dans une initiative européenne: " Je suis là pour donner mon opinion, c'est au gouvernement ensuite de choisir." 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.