Cet article date de plus de huit ans.

Vidéo Les excuses très étranges de Johnny Depp et sa femme aux Australiens

Le couple de stars avait ommis de déclarer la présence de leurs deux chiens dans leur jet privé alors que l'Australie impose une réglementation très stricte sur les animaux afin d'éviter la propagation de maladies.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Le ministre de l'Agriculture australien a publié une vidéo, lundi 18 avril 2016, dans laquelle Johnny Depp et sa femme, Amber Heard, s'excusent pour avoir fait entrer leurs deux chiens sans les déclarer.  (BARNABY JOYCE / FACEBOOK)

Jugée coupable. Amber Heard, l'épouse de Johnny Depp, a reconnu avoir falsifié le formulaire destiné aux services d'immigration lorsqu'elle avait fait entrer en jet privé sur le territoire australien Pistol et Boo, ses deux yorkshire-terriers, sans les déclarer. Le ministre australien de l'Agriculture Barnaby Joyce avait menacé les chiens d'euthanasie s'ils ne "foutaient" pas "le camp aux Etats-Unis".

"C'était une erreur terrible, a dit son avocat Jeremy Kirk. Il n'y a avait aucune intention de tromper." L'Australie impose une réglementation très stricte sur les animaux afin d'éviter la propagation de maladies. Les chats et les chiens venant des Etats-Unis sont soumis à 10 jours de quarantaine. Les contrevenants risquent de lourdes amendes, voire 10 ans de prison.

Une vidéo d'excuses surréaliste

"Je suis vraiment désolée que Pistol et Boo n'aient pas été déclarés." Dans une vidéo diffusée sur Facebook par Barbnady Joyce lui-même, Johnny Depp et sa femme expriment leurs excuses. "Il est important de protéger l'Austalie", affirme Amber Heard avant que son mari conclue, d'une voix monotone, sur le conseil suivant : "Déclarez tout, lorsque vous entrez en Australie." La vidéo est presque surréaliste. Filmé face à la caméra, le couple agit "comme s'il était pris en otage en Corée du Nord", ironise le site Mashable (en anglais)

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.