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Coupe du monde : aux larmes citoyens, le diaporama le plus triste de l'année

Article rédigé par Louis San
France Télévisions
Publié Mis à jour

La France a été éliminée de la compétition par l'Allemagne, en quarts de finale, vendredi. Une défaite qui a fait pleurer les Bleus, et qui a laissé leurs supporters désemparés.

"Beaucoup de tristesse, de déception et de frustration." Didier Deschamps, sélectionneur de l'équipe de France, commente à chaud l'élimination de la France de la Coupe du monde, vendredi 4 juillet. Les Bleus ont été battus par l'Allemagne (0-1) en quarts de finale. Une défaite qui a fait pleurer les Bleus, et qui a laissé leurs supporters désemparés, à Rio de Janeiro comme à Paris.

Antoine Griezmann (à gauche) ne peut contenir ses larmes après le coup de sifflet final. La France est éliminée par l'Allemagne, en quarts de finale de la Coupe, au stade Maracana, à Rio de Janeiro (Brésil), le 4 juillet 2014. Le gardien Hugo Lloris a un geste tendre pour le jeune joueur. Mais l'émotion semble trop forte. (ADRIAN DENNIS / AFP)
Le joueur de 23 ans continue de pleurer à chaudes larmes. Il semble inconsolable. Son camarade Rio Mavuba tente de le réconforter. (PILAR OLIVARES / REUTERS)
Mathieu Valbuena, lui aussi, est bouleversé par la défaite des Bleus. Heureusement, Rio Mavuba veille. (FRANCOIS XAVIER MARIT / AFP)
Les défenseurs tricolores Mathieu Debuchy (à gauche) et Laurent Koscielny sont également sonnés par la défaite. (CHRISTOPHE SIMON / AFP)
Karim Benzema est réconforté par le sélectionneur des Bleus, Didier Deschamps. (CHARLES PLATIAU / REUTERS)
Dans les tribunes du stade du Macarana, les supporters français éprouvent des difficultés à digérer l'élimination des Bleus. (FRANCK FIFE / AFP)
Certains supporters Français présents dans le stade du Maracana restent cloués sur leur chaise, scotchés par l'élimination de la France. (DARREN STAPLES / REUTERS)
Les visages sont fermés pour ses supportrices françaises qui ont assisté au match au stade du Maracana. Le parcours de la sélection française se termine là. La fête est finie. (GONZALO FUENTES / REUTERS)
A Paris, sur le parvis de l'hôtel de ville, au pied de l'écran géant, le dépit est le même. Et les doigts croisés n'ont rien changé. (GONZALO FUENTES / REUTERS)

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