Coupe du monde 2022 : le Brésil l'emporte face à la Serbie grâce à un doublé de Richarlison
Le Portugal, autre favori du tournoi, s'est difficilement imposé en fin d'après-midi contre le Ghana (3-2).
Ce qu'il faut savoir
Après la victoire de la Suisse contre le Cameroun (1-0) pour débuter la journée, jeudi 24 novembre, l'Uruguay de Luis Suarez et Edinson Cavani a concédé le match nul face à la Corée du Sud (0-0). En fin d'après-midi, le Portugal de Cristiano Ronaldo, qui est devenu le seul joueur à avoir marqué au moins un but au cours de cinq coupes du monde différentes, a difficilement battu le Ghana (3-2).
C'était ensuite au tour du Brésil de Neymar, autre grand favori du tournoi, de faire son entrée dans la compétition face à la Serbie. Logiquement, le Brésil l'a emporté (2-0). Ce direct est terminé.
Mattéo Guendouzi et Marcus Thuram sont passés en conférence de presse. Le milieu et l'attaquant des Bleus ont répondu aux questions des journalistes, à deux jours de France-Danemark, samedi soir (20 heures). Le milieu de l'OM a notamment évoqué cet adversaire, "une équipe sous-cotée (qui) fait partie des quatre meilleures équipes en Europe actuellement".
Mattéo Guendouzi répond à la ministre des Sports. Alors que la polémique autour de l'interdiction des brassards "One Love" ne faiblit pas, Amélie Oudéa-Castéa a appelé l'équipe de France à utiliser les "espaces de liberté" qu'il reste pour "continuer à exprimer son engagement en faveur des droits humains". Interrogé à ce sujet, le milieu des Bleus a répondu que la ministre est "une femme politique, elle dit ce qu'elle veut". "On a fait un communiqué pour dire ce qu'on pensait. On n'est pas insensibles à cette situation mais on est là pour jouer au football jusqu'à la fin", a-t-il ajouté.
Une ministre belge porte le brassard "One Love" au côté de Gianni Infantino. La ministre des Affaires étrangères belge, Hadja Lahbib, a porté en tribune le brassard "One Love", lors de la victoire des Diables rouges face au Canada mercredi. Elle était assise en tribune au côté, notamment, du président de la Fifa, Gianni Infantino. Ce dernier a menacé de sanction les équipes dont les capitaines porteraient ce brassard inclusif.