Dix jours après le début de la Coupe du monde, le spectacle est tout autant dans les gradins que sur le terrain. La preuve en images avec ces supporters un brin barrés. Florilège.
La Coupe du monde a débuté voilà dix jours mais les supporters s'illustrent déjà par leur créativité. Pastèques, carottes, masques de catch, plumes... Voici les ingrédients d'une tenue réussie, à en croire ces images des tenues les plus décalées de la compétition.
Un supporter mexicain présente le drapeau national dans les gradins du stade de Natal, le 13 juin. ( MAXPPP)En cotte en mailles, cet Anglais rejoue les classiques de la Guerre de Cent Ans, le 14 juin avant le match contre l'Italie à Manaus. (FABRICE COFFRINI / AFP)Un Colombien s'impatiente avant la rencontre contre la Grèce, le 14 juin à Belo Horizonte. Graou. (PEDRO UGARTE / AFP)Un fan des Pays-Bas prêt à intégrer les carnavals brésiliens, le 13 juin à Salvador, avant le match contre l'Espagne. (JAVIER SORIANO / AFP)Avec ce type de supporters, les joueurs chiliens ne craignent personne. Ils ont battu l'Australie 2-1, le 13 juin à Cuiaba. (MARTIN BERNETTI / AFP)Ces supporters japonais portent une tenue non identifiée, lors du match contre la Côte d'Ivoire, samedi 14 juin à Recife (Brésil). (STEFANO RELLANDINI / REUTERS)Ces Brésiliens participent à la fête des supporters, le 12 juin à Rio de Janeiro, avec des étoiles plein la pastèque. (TASSO MARCELO / AFP)Des supporters italiens avant le match contre l'Angleterre au stade Amazônia de Manaus (Brésil), samedi 14 juin. (GIUSEPPE CACACE / AFP)Plongée d'un supporter anglais en Amazonie, le 14 juin à Manaus. (IVAN ALVARADO / REUTERS)Un Néerlandais très aimable patiente avant la recontre contre l'Espagne, le 13 juin à Salvador. (DAMIEN MEYER / AFP)Un supporter mexicain a hissé le symbole national sur sa tête, le 13 juin à Natal. ( MAXPPP)Un supporter brésilien tente de boire une bière à travers son masque, avant le match contre la Croatie, le 12 juin. (BEHROUZ MEHRI / AFP)Ce supporter du Cameroun arbore fièrement son masque de lion. Mais son équipe s'est inclinée contre le Mexique (0-1), le 13 juin à Natal. ( MAXPPP)Un supporter (anxieux ?) du Japon, lors du match Japon-Grèce, le 19 juin à Natal. (FABRICE COFFRINI / AFP)Des supporters français déguisés en François Hollande et Dominique Strauss-Kahn aperçus dans les tribunes de Salvador de Bahia, le 20 juin, à l'occasion de France-Suisse. (FRANCK FIFE / AFP)Un jeune supporter de l'Uruguay, portant le masque de la mascotte de la compétition, Fuleco, lors du match Uruguay-Costa Rica, le 14 juin à Fortaleza. (DOMINIC EBENBICHER / REUTERS)Le chapeau de ce supporter suisse date de 2010, l'époque où la Suisse avait une défense de fer. Contre la France (2-5, le 20 juin), ce n'était pas vraiment le cas. (YANG LEI / CHINE NOUVELLE / SIPA)Traditionnel, les lèvres décorées aux couleurs de son équipe ? Efficace, néammoins, comme le prouve cette supportrice française lors de France-Suisse du 20 juin. (YANG LEI / CHINE NOUVELLE / SIPA)Trois têtes, des mains qui poussent dans le cou, le supporter russe est polymorphe. Comme ici lors de Russie-Corée du Sud, à Cuiaba, le 17 juin. (PAUL HANNA / REUTERS)Godzilla ? Non, un supporter du Japon lors de Japon-Grèce, le 19 uin à Natal. (TORU HANAI / REUTERS)Les supporters du Mexique sont nombreux à assister aux matchs de leur équipe avec un masque de catch (si tant est qu'on voie quelque chose là-dessous). Ici lors de Mexique-Brésil, le 17 juin à Fortaleza. (SERGIO MORAES / REUTERS)Ce supporter australien, repéré lors du match Australie-Pays-Bas à Porte Alegre, le 18 juin, a voulu rester anonyme. (STEFANO RELLANDINI / REUTERS)Une balle de ping-pong, une moustache en plastique et un chapeau bariolé, ça vous change un supporter brésilien, le 17 juin à Sao Paulo. (MIGUEL SCHINCARIOL / AFP)
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