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Art contemporain : quelle cote pour l’art aborigène ?
La FIAC (Foire Internationale d’Art Contemporain) qui s’est déroulée fin octobre à Paris est l’un des baromètres mondiaux les plus fiables de l’art contemporain. Mais sur ce marché mondial, quelle est la cote de l’art aborigène contemporain ? Un art auquel on est peut-être plus sensible à Paris qu’ailleurs avec la présence quai Branly du musée des Arts Premiers.
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Temps de lecture : 1min
Reportage: Christian Tortel, Denis Rousseau-Kaplan, Gilles Mazaniello et Thomas Chudeau
A la FIAC une Ferrari accidentée a atteint 180.000€. Cher mais pas un record sur un marché où les chèques à six chiffres sont "monnaie" courante…
Non loin de là, se tenait aussi le marché plus spécialisé de l’art contemporain aborigène. Si l’on pouvait y acquérir une oeuvre pour 20 ou 25.000 euros, on pouvait aussi s’offrir un tableau australien pour 1.600 euros. D’où vient cette différence de prix entre des œuvres dont certaines sont dignes du « grand » marché ? Peut-être cette forme d’art est-elle encore trop souvent associée à l’image d’un art tribal plus qu’à une démarche artistique résolument contemporaine.
Non loin de là, se tenait aussi le marché plus spécialisé de l’art contemporain aborigène. Si l’on pouvait y acquérir une oeuvre pour 20 ou 25.000 euros, on pouvait aussi s’offrir un tableau australien pour 1.600 euros. D’où vient cette différence de prix entre des œuvres dont certaines sont dignes du « grand » marché ? Peut-être cette forme d’art est-elle encore trop souvent associée à l’image d’un art tribal plus qu’à une démarche artistique résolument contemporaine.
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