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Le Louvre, dans les coulisses du plus grand musée du monde
Avec plus de 9 millions de visiteurs en 2013, le Louvre de Paris reste le musée le plus visité au monde. Mais pour préserver un tel succès, il doit prendre soin des 38 000 oeuvres exposées dans les 60 600 m² du musée. De la surveillance à l'accrochage des tableaux, en passant par leur restauration, près de 2000 personnes veillent sur ce lieu unique, qui fut l'ancienne demeure des rois de France.
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Reportage : C. Airaud / J-M. Lequertier / S. Langlet / F. Prigent
On va peut-être jouer les tatillons, mais le Louvre a perdu un demi millions de visiteurs. 2012 fut en effet l'année du record avec 9,7 millions d'entrées contre 9,3 millions enregistrées en 2013. Un quart de ces visteurs est composé de Français. Viennent ensuite en ordre d'importance les Américains, les Italiens et les Chinois. Ces entrées payantes représentent 58 millions d'euros, soit 58 % des recettes du musée (hors subvention).
Le Louvre a connu une phase d’expansion considérable durant les quatre mandats d’Henri Loyrette (arrivé en 2001), avec la multiplication par deux de la fréquentation du musée. Sous sa présidence, les expositions temporaires se sont multipliées, tout comme les cartes blanches à de « grands invités », l’art contemporain s'est fait une place, le Louvre-Lens a ouvert ses portes...
Mais si le musée n'a pas semblé être touché par la crise, le successeur de Loyrette, Jean-Luc Martinez, a clairement exprimé sa volonté de recentrer les activités. Il y aura notamment moins d’expositions, huit par an contre seize jusqu’à présent. Une cure d’amaigrissement qui va de pair avec la baisse de subvention de l’Etat de 2,5 % par an (subvention de 91 millions millions pour 2014).
Le Louvre a connu une phase d’expansion considérable durant les quatre mandats d’Henri Loyrette (arrivé en 2001), avec la multiplication par deux de la fréquentation du musée. Sous sa présidence, les expositions temporaires se sont multipliées, tout comme les cartes blanches à de « grands invités », l’art contemporain s'est fait une place, le Louvre-Lens a ouvert ses portes...
Mais si le musée n'a pas semblé être touché par la crise, le successeur de Loyrette, Jean-Luc Martinez, a clairement exprimé sa volonté de recentrer les activités. Il y aura notamment moins d’expositions, huit par an contre seize jusqu’à présent. Une cure d’amaigrissement qui va de pair avec la baisse de subvention de l’Etat de 2,5 % par an (subvention de 91 millions millions pour 2014).
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