Cet article date de plus de dix ans.
Les fins de mois difficiles des anciennes gloires du show-bizz
Marthe Mercadier. Georgette Lemaire. Si les noms de cette comédienne et de cette chanteuse ne disent peut-être rien aux jeunes générations, ils ont été en haut de l’affiche dans les années 70. Aujourd’hui, ces artistes peines à vivre de leur retraite et sont menacées d’expulsion. Une situation qui illustre la précarité de professions où l’on passe parfois brutalement de la lumière à l'ombre.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : I. Baechler, F. Bazille, H. Posseto
Marthe Mercadier, Georgette Lemaire mais aussi Manitas de Plata, Linda de Suza... En ce printemps 2014, plusieurs artistes font la une des journaux, racontant les difficultés financières auxquelles ils ou elles sont confrontées. Si leur situation ressemble dans les faits à celle de nombreux français dont le sort reste anonyme, difficile de ne pas s’émouvoir ou de tendre davantage l’oreille face à la détresse de ces personnalités qui ont parfois marqué nos vies par leurs chansons ou leurs films.
Victimes des modes qui passent, d’escrocs ou de managers peu regardants sur les contrats, victimes aussi d’un manque de prévoyance et d’une générosité qui les a parfois transformées en cigale plutôt qu’en fourmi, ces artistes subissent une forme de double peine : les fins de mois très difficiles et l’oubli. Pas facile en effet d’avoir été sur le devant de la scène, acclamé par le public, choyé par les médias pour ensuite basculer dans l’anonymat avec un téléphone qui reste désespérément muet.
Une situation tristement universelle, comme on peut le lire dans un article de Paris Match : Anita Ekberg, l’inoubliable interprète de « La Dolce Vita » est aujourd’hui une octogénaire qui vit seule et dans la pauvreté, tout comme Ali Mac Graw (72 ans) qui fut Jennifer dans « Love Story ».
Victimes des modes qui passent, d’escrocs ou de managers peu regardants sur les contrats, victimes aussi d’un manque de prévoyance et d’une générosité qui les a parfois transformées en cigale plutôt qu’en fourmi, ces artistes subissent une forme de double peine : les fins de mois très difficiles et l’oubli. Pas facile en effet d’avoir été sur le devant de la scène, acclamé par le public, choyé par les médias pour ensuite basculer dans l’anonymat avec un téléphone qui reste désespérément muet.
Une situation tristement universelle, comme on peut le lire dans un article de Paris Match : Anita Ekberg, l’inoubliable interprète de « La Dolce Vita » est aujourd’hui une octogénaire qui vit seule et dans la pauvreté, tout comme Ali Mac Graw (72 ans) qui fut Jennifer dans « Love Story ».
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