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Mini World présente son "Mini Lyon" dans son intégralité

Le plus grand parc de miniatures animées de France s’apprête à dévoiler la phase finale de sa mini capitale des Gaules. Une véritable prouesse technologique à découvrir pour les fêtes de fin d’année.
Article rédigé par Véronique Dalmaz
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié
Temps de lecture : 1min
Maquette de la Place Bellecour 
 (capture image France3/Culturebox)

Des maquettes plus vraies que nature des quartiers emblématiques de Lyon. La nouvelle exposition du parc Mini World sera entièrement dévoilée au public à partir du 20 décembre. Un méticuleux travail de reconstitution de certains bâtiments de la ville qui a nécessité près d’un an de travail.

Reportage : J. Sauvadon / S. Goldstein / F. Bernes

De la Presqu’île à la Part-Dieu

En Avril, Mini World a présenté la première partie de son exposition. Une réplique de la Presqu’île lyonnaise, de la place Bellecour aux Terreaux , en passant par le Théâtre des Célestins. A la Toussaint, le parc a dévoilé le Vieux-Lyon, Fourvière et Saint-Jean. Dans quelques jours, le public pourra découvrir le dernier volet de l’exposition consacré au quartier de la Part-Dieu, au Parc de la Tête d’Or et aux quais du Rhône.

150 m2 de maquettes

Toute la ville n’a bien sûr pas été reproduite. Seuls les quartiers les plus connus de Lyon ont été représentés à l’échelle 1/87ème. 150 m2 de maquettes pas toujours faciles à réaliser. Certains bâtiments ont donné du fil à retordre aux maquettistes.


Il y a eu la Tour de la Part-Dieu parce qu’elle est haute. Les milliers de fenêtres ont été reproduites. Notre-Dame de Fourvière, avec ses nombreux vitraux, a demandé également 4 mois de travail.

Richard Richarté, directeur de Mini World
Maquette de la Basilique de Fourvière
 (capture image France3/Culturebox)

Travail de précision

Pour réaliser ce travail, l’équipe des maquettistes a été multiplié par deux. 22 professionnels ont travaillé sur cette exposition. Un travail de précision.

C’est vrai qu’il y a une grosse partie de dessins à l’ordinateur et après d’usinage machine mais tout l’assemblage se fait à la main.

Emilie Brousse, maquettiste 


Le parc a investi plus d’un million d’euros dans la fabrication de cette réplique de Lyon.  
 

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