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Rafael Fabres met en images la "Pacification" de Rio de Janeiro
Coupe du Monde en 2014, Jeux Olympiques en 2016, Rio de Janeiro se prépare à se retrouver sous les feux de milliers de télévisions du monde entier. Du coup, les autorités jouent aux "cache-misères". Elles traquent les délinquants, trafiquants, bandits, "nettoient" les favelas, jusqu'à des expulsions brutales. C'est cette histoire que raconte le photographe Rafael Fabres à Visa Pour l'Image.
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Reportage Jean-Michel Escaffre, François Jobard :
Ce n'est pas une belle histoire pacifique que raconte dans ses photos Rafael Fabres. Il est question de brutalités policières, d'expulsions de petites gens, autant que de réduction de la délinquance.
Le photojournalisme a cette force : dire, sans commenter, donner à voir sans juger. Ainsi, dans les expositions proposées cette année dans le cadre de Visa pour l'Image, il y a les clichés d'Abir Abdullah sur Dacca, une ville devenue piège mortel à défaut de règles d'urbanisme, de normes anti incendie. Pascal Maître, lui, montre les artistes de Kinshasa. Vlad Sokhin raconte l'esclavage moderne en Haïti. Comme le disaient deux visiteurs du festival : "on en apprend plus ici que dans les journaux télévisés". Visa pour l'Image se déroule jusqu'au 15 septembre.
Le photojournalisme a cette force : dire, sans commenter, donner à voir sans juger. Ainsi, dans les expositions proposées cette année dans le cadre de Visa pour l'Image, il y a les clichés d'Abir Abdullah sur Dacca, une ville devenue piège mortel à défaut de règles d'urbanisme, de normes anti incendie. Pascal Maître, lui, montre les artistes de Kinshasa. Vlad Sokhin raconte l'esclavage moderne en Haïti. Comme le disaient deux visiteurs du festival : "on en apprend plus ici que dans les journaux télévisés". Visa pour l'Image se déroule jusqu'au 15 septembre.
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