Cet article date de plus de huit ans.

"VivaVilla!", un festival créé par la Villa Médicis, la Casa de Velasquez et la Villa Kujoyam

Postes avancés de la création française, la Villa Médicis de Rome, la Casa de Velasquez de Madrid et la Villa Kujoyama à Kyoto créent un festival commun à Paris baptisé "VivaVilla!", pour faire connaître les œuvres de leurs pensionnaires. La 1e édition de "VivaVilla!" aura lieu en 2017 mais une édition zéro est organisée ce week-end à l'Ecole du Louvre et dans le domaine du Palais Royal.
Article rédigé par franceinfo - franceinfo Culture (avec AFP)
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
La villa Médicis à Rome, 2003
 (VINCENZO PINTO / AFP)

"Il est important de nous mettre ensemble pour montrer la multiplicité des talents présents dans nos établissements, qui accueillent chacun entre 15 et 20 pensionnaires", explique à l'AFP la directrice de la Villa Médicis, Muriel Mayette-Holtz. 

"C'est la recherche qui se trouve au coeur du travail de toute création  artistique que VivaVilla! veut donner à voir", écrit-elle avec ses homologues de la Casa Velasquez (Michel Bertrand) et de la Villa Kujoyama (Christian Merlhiot). "C'est sur les dimensions les plus actuelles et l'utilité de ces résidences à l'étranger que VivaVilla! met la focale", ajoutent-ils.

Pour cette préédition, une sélection d'une vingtaine d'oeuvres sont présentées dans le domaine du Palais Royal et une journée de débats et rencontres est organisée à l'Ecole du Louvre, où sont également projetés des films réalisés par des pensionnaires de ces trois lieux.

La Villa Médicis reçoit en résidence de jeunes artistes afin qu'ils développent leurs projets dans tous les domaines de la création (arts plastiques, musique, littérature, cinéma, design...). La Villa Kujoyama  fonctionne sur le même principe. La Casa de Velasquez a pour mission de "développer les activités créatrices et les recherches liées aux arts, aux langues, aux littératures et aux sociétés des pays ibériques, ibéro-américains et du Maghreb".

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.