Cet article date de plus de sept ans.
Le petit musée rigolo de Zèbréric : savoir rire des misères du monde
Il jette sur le monde un regard à la fois drôle et tendre. L’artiste plasticien Zèbréric a fait de sa maison du Cher un petit musée rigolo. Un endroit où exposer les objets détournés qu’il présente chaque semaine sur sa page Facebook. Des œuvres d’art empreintes d’humour noir. Tristes sires, s’abstenir !
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Temps de lecture : 1min
Reportage : V. Etienne / J. Roché / S. Schneider
Un globe terrestre transformé en bombe dont Donald Trump serait la mèche. La panoplie du parfait petit pyromane en référence aux incendies de ces dernières semaines ou encore, un pistolet à poutou qui envoie des baisers plutôt que des balles…Bienvenue dans l’univers à la fois drôle et poétique de Zèbréric. Depuis six ans, l’artiste plasticien détourne les objets du quotidien pour en faire des œuvres d’art en lien avec l’actualité. Des œuvres qu’il présente tous les dimanches sur son site internet et sa page Facebook et qu’il expose désormais dans son "Petit musée rigolo".
Influencé par le mouvement Fluxus qui place l’humour au cœur de l’art, Zèbréric revendique la nécessité de pouvoir rire de tout, même de l’indicible (comme les affaires de bébés congelés !). Certains se demanderont si c’est de l’art ou du cochon. L’essentiel pour l’artiste, c’est le questionnement. Et de ce côté-là, l’objectif est atteint.
Un globe terrestre transformé en bombe dont Donald Trump serait la mèche. La panoplie du parfait petit pyromane en référence aux incendies de ces dernières semaines ou encore, un pistolet à poutou qui envoie des baisers plutôt que des balles…Bienvenue dans l’univers à la fois drôle et poétique de Zèbréric. Depuis six ans, l’artiste plasticien détourne les objets du quotidien pour en faire des œuvres d’art en lien avec l’actualité. Des œuvres qu’il présente tous les dimanches sur son site internet et sa page Facebook et qu’il expose désormais dans son "Petit musée rigolo".
Influencé par le mouvement Fluxus qui place l’humour au cœur de l’art, Zèbréric revendique la nécessité de pouvoir rire de tout, même de l’indicible (comme les affaires de bébés congelés !). Certains se demanderont si c’est de l’art ou du cochon. L’essentiel pour l’artiste, c’est le questionnement. Et de ce côté-là, l’objectif est atteint.
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