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"Mia et le lion blanc" : mélo et violons au secours de la cause animale

"Mia et le Lion Blanc" de Gilles de Maistre sort mercredi au cinéma avec Mélanie Laurent.

Article rédigé par franceinfo, Thierry Fiorile
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Gilles de Maistre à l'avant-première de "Mia et le lion blanc" à Monaco, le 30 novembre 2018. (JEAN FRANÇOIS OTTONELLO / MAXPPP)

En trente ans, la population des lions est passée de 350 000 à 25 000 seulement. Rareté dans cette espèce, le lion blanc est entouré de légendes en Afrique du Sud où le film a été tourné.

Quand naît Charlie dans la ferme de félins de ses parents, Mia en fait son meilleur ami, qu'elle va protéger quand il sera question de le vendre et donc de l'exposer aux chasseurs.

Si le film plaira aux enfants, il déborde de mélo et de violons. Mais il défend la cause animale et dénonce ceux qui trouvent du plaisir à tirer sur des animaux pas si sauvages que ça, car très habitués à l'homme.

On a cru en une idée, et on a cru au pouvoir du message en le faisant

Kevin Richardson, zoologiste consultant sur le tournage

à franceinfo

Kevin Richardson, zoologiste sud-africain, a été le conseiller de Gilles de Maistre sur le tournage. "C’est la première fois qu’un film fait le lien entre l’élevage d’un lion et le moment où il devient un trophée de chasse. Et les gens qui voient ça sont dégoûtés. Espérons que ça se propage".

La belle histoire dans l'histoire de Mia, c'est le vrai lien qui lie Dania De Villiers à ce lion. Le tournage a duré trois ans, elle a grandi avec lui et les scènes qu'ils partagent illustrent cette relation unique.

La critique de Thierry Fiorile sur "Mia et le lion blanc".

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