"Paddington au Pérou" : retour au cinéma de l'ourson star en première mondiale à Londres avant sa sortie en France en février 2025
Paddington revient sur grand écran : sept ans après la sortie du deuxième film mettant en scène les aventures du petit ourson péruvien réfugié à Londres, un nouveau long-métrage le voit revenir aux sources pour des aventures au coeur de la forêt amazonienne.
La première mondiale de Paddington au Pérou, réalisé par Dougal Wilson, se tient dimanche à Londres, en présence notamment de ses acteurs vedettes Olivia Colman, Hugh Bonneville et Antonio Banderas, avant une sortie le 8 novembre au Royaume-Uni, puis en février 2025 en France.
Cette fois l'emblématique ourson au duffle-coat bleu et au chapeau rouge, icône de la littérature enfantine britannique, retourne en vacances dans son pays natal pour rendre visite à sa tante Lucy. Accompagné de sa famille adoptive, les Brown, il va se retrouver entrainé dans des aventures incroyables à la recherche de la mythique cité d'or perdue d'Eldorado.
Hugh Bonneville campe de nouveau Mr Brown, tandis que son épouse est cette fois incarnée par Emily Mortimer. On retrouve également à l'affiche l'actrice oscarisée Olivia Colman dans le rôle d'une religieuse fantasque et l'Espagnol Antonio Banderas en capitaine de bateau aventureux.
En Français, l'ourson grand amateur de confiture d'orange et extrêmement maladroit est doublé par l'acteur Guillaume Gallienne. Ben Whishaw (saga James Bond, Le Retour de Mary Poppins) lui prête sa voix dans la version originale.
Imaginé un soir de Noël
Paddington est né en 1958 sous la plume de l'écrivain anglais Michael Bond, décédé en 2017 à 91 ans. Les enfants ont pu suivre les péripéties de l'ourson dans une quinzaine de livres publiés jusqu'à 2014, vendus à plus de 35 millions d'exemplaires et traduits dans plus de 40 langues.
Dans les années 1970, la BBC avait réalisé une série animée, avant que Paddington n'arrive au cinéma en 2014, dans un long-métrage réalisé par Paul King. Le cinéaste a aussi signé le deuxième opus.
Michael Bond l'avait imaginé un soir de Noël 1956, quand après avoir aperçu un ours en peluche esseulé dans la vitrine d'un grand magasin londonien, il avait décidé de l'offrir à son épouse et de le baptiser du nom de la gare la plus proche de leur domicile.
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