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Vidéo Pour “Les Gardiennes de la planète”, Jean Dujardin sensibilise à la pollution marine

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Dans “Les Gardiennes de la planète”, au cinéma ce 22 février, Jean Dujardin raconte l’histoire des cétacés, et comment ils sont menacés par la pollution dans les océans. À cette occasion, il a ramassé des déchets sur une place avec l’ONG Project Rescue Ocean.
VIDEO. Pour “Les Gardiennes de la planète”, Jean Dujardin sensibilise à la pollution marine Dans “Les Gardiennes de la planète”, au cinéma ce 22 février, Jean Dujardin raconte l’histoire des cétacés, et comment ils sont menacés par la pollution dans les océans. À cette occasion, il a ramassé des déchets sur une place avec l’ONG Project Rescue Ocean. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Dans “Les Gardiennes de la planète”, au cinéma ce 22 février, Jean Dujardin raconte l’histoire des cétacés, et comment ils sont menacés par la pollution dans les océans. À cette occasion, il a ramassé des déchets sur une place avec l’ONG Project Rescue Ocean.

“C’est désespérant, parce que tu te dis qu’il y en a tellement et il y en a tous les jours”, décrit Jean Dujardin. L’acteur prête sa voix pour raconter l’histoire des cétacés dans “Les Gardiennes de la planète”. Le documentaire, réalisé par Jean-Albert Lièvre, sort en salles de cinéma ce 22 février. À l’occasion, l’acteur et le réalisateur ont mené une action avec l’association Project Rescue Ocean, en nettoyant et ramassant les déchets sur une plage à Valras-Plage, en Occitanie. 

“Si on ne fait rien, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans”

On sait qu’il y a pratiquement 8 millions de tonnes par an de plastique qui partent dans les océans. Et si on ne sensibilise pas, si on ne fait rien, dans 50 ans, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans. C’est un des fléaux pour les mammifères marins parce qu’ils prennent le plastique pour des mollusques, des planctons ou des trucs, ils s’étouffent, ils l’avalent”, décrit Jean-Albert Lièvre.

Il faut que ça devienne pour des gosses, que se soit sur une plage, dans une rue dans une  vallée, dans la montagne ou n'importe où une anomalie, en fait, c'est que, d'un coup, un bout de plastique, une canette, une bouteille, un truc qui traîne, un truc qui ne va pas avec la nature, un truc qui n’est pas naturel, immédiatement je ramasse, immédiatement j’ai le réflexe, je le mets dans ma fouille, je le mets dans une poubelle, je le mets dans un sac”, pense Jean Dujardin.

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