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"Terminator Dark Fate" : pas grand-chose de nouveau (ou presque)

Nouveau film, "Terminator Dark Fate", sur les écrans français mercredi, et retour des précurseurs : Arnold Schwarzenegger et Linda Hamilton à l'écran, James Cameron à la production, de retour pour un film à très gros budget, et petites idées.

Article rédigé par Yann Bertrand
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
"Terminator : Dark Fate" et ses trois héroïnes, notamment Linda Hamilton (à droite) qui fait son retour dans la franchise. (TWENTIETH CENTURY FOX)

Elle est de retour : Linda Hamilton, la Sarah Connor des origines, celle qui il y a plus de 20 ans dans Terminator 2 sauvait péniblement l'avenir de l'Humanité, faisant pour de bon entrer la saga dans l'Histoire.

À part cela et le retour de James Cameron à la production, ce nouvel épisode d'une saga bien maltraitée, notamment avec le four de Terminator Genisys il y a quatre ans, n'est pas d'une originalité folle. Une nouvelle élue à protéger, une jeune Mexicaine, un nouveau Terminator envoyé du futur, paraissant encore plus invincible... et une femme mi-humaine mi-machine chargée de protéger l'élue.

Beaucoup d'action, des scènes de combat sans fin, des retrouvailles bien appuyées par des répliques un peu lourdes, un "Schwarzy" incarnant un vieux Terminator en quête de rédemption... Et si, quand même, des rôles primordiaux et sans trop de clichés confiés à des femmes, MacKenzie Davis et Natalia Reyes, seule touche un peu revigorante d'un film qui tourne souvent à vide, une suite attendue et sans nouveau souffle.

Nouveau film, nouveau "Terminator", histoire qui tourne en rond

Terminator Dark Fate (20th Century Fox), en salles le 23 octobre. Avec Linda Hamilton, MacKenzie Davis, Natalia Reyes, Arnold Schwarzenegger...

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