Cet article date de plus de six ans.

Vidéo "20h30 le dimanche" : le portrait de la comédienne Virginie Efira

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min - vidéo : 2min
VIDEO. "20h30 le dimanche" : le portrait de la comédienne Virginie Efira
VIDEO. "20h30 le dimanche" : le portrait de la comédienne Virginie Efira VIDEO. "20h30 le dimanche" : le portrait de la comédienne Virginie Efira
Article rédigé par France 2
France Télévisions

"J’ai beaucoup d’admiration pour l’artiste qu’elle est et pour le courage qu’elle a d’aller dans des voies différentes", dit Gilles Lellouche de l’actrice Virginie Efira. Il l'a faite tourner dans "Le Grand Bain" vu par quatre millions de spectateurs. Et elle n'a pas manqué de courage pour galoper à travers les steppes du Kirghizistan dans son dernier rôle... Extrait du magazine "20h30 le dimanche" du 20 janvier 2019.

La comédienne franco-belge Virginie Efira, qui était sur le plateau du magazine "20h30 le dimanche" (FacebookTwitter, #20h30LD) animé en direct par Laurent Delahousse, est née à Bruxelles où elle a grandi avec des envies de scène. Le petit écran lui fait d’abord les yeux doux dans son pays de naissance, puis c'est la France.

Après dix ans de télévision, est venu pour elle le temps de faire du cinéma. Elle ne cesse de tourner de 2010 à 2016 : beaucoup de comédies souvent romantiques. Son glamour s’affiche partout et elle est élue "femme de l’année" en 2013 par le magazine masculin GQ.

"Elle est très épatante"

Son rôle d’avocate un peu barrée dans le film Victoria (2016) présenté à Cannes, marque un tournant dans sa carrière. Elle est ensuite embarquée dans Le Grand Bain (2018) par le réalisateur Gilles Lellouche qui dit d’elle : "J’ai beaucoup d’admiration pour l’artiste qu’elle est et pour le courage qu’elle a d’aller dans des voies différentes… Elle est très épatante." Elle joue ensuite dans Un Amour impossible (2018) : l’histoire d’un couple maudit sur fond d’inceste.

A compter du 23 janvier 2019, Virginie Efira est à l’affiche du film Continuer, réalisé par Joachim Lafosse, dans le rôle d’une mère divorcée qui entraîne son fils adolescent dans un long périple à travers le Kirghizistan, avec deux chevaux pour seuls compagnons. Le dresseur de chevaux pour le cinéma Mario Luraschi se souvient du tournage : "Elle le caressait, mais à un moment donné, je lui ai dit qu’il allait falloir monter dessus. Nous sommes partis au galop. La panique grave… Et elle a eu le courage d’y aller !"

> Un portrait signé Nathalie Hayter.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.