L'Enquête
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SYNOPSIS
- Le journaliste Denis Robert met le feu aux poudres dans le monde de la finance en dénonçant le fonctionnement opaque de la société bancaire Clearstream. Sa quête de vérité pour tenter de révéler « l’Affaire des affaires » va rejoindre celle du juge Renaud Van Ruymbeke, très engagé contre la corruption. Leurs chemins vont les conduire au cœur d’une machination politico-financière baptisée « l’affaire Clearstream » qui va secouer la Vème République.
© Mars Distribution
Vincent Garenq, à propos de son film :
« […] Quand on lit les procès-verbaux d’instructions judiciaires, on découvre toujours des tranches de vie passionnantes. C’est comme cela que je conçois le scénario et je n’aime pas les histoires « inventées », les scénarios de « scénaristes », dont l’imaginaire est souvent envahi de clichés et de références cinématographiques. Quand on s’inspire du réel, on se met à l’abri des clichés et l’on peut construire des intrigues qui ont une véritable originalité. »
« L’Enquête a été un scénario très difficile à écrire. J’ai commencé par m’attacher à la première investigation de Denis Robert, où se concentre, à mon sens, l’épure du film, et j’ai écrit plusieurs versions du scénario que j’ai fait lire à mes producteurs qui n’y comprenaient rien ! (rires) Par la suite, le scénariste Stéphane Cabel m’a débloqué par ces simples mots : « tu ne pourras pas raconter cette histoire avec un seul personnage comme tu l’as fait pour Alain Marécaux ». Aussitôt, tous les autres personnages du film ont déferlé dans mon esprit, à commencer par Van Ruymbeke, ce dont je me faisais une joie, tant il me fascinait depuis toujours. »
« J’aime la naïveté et l’anticonformisme de ce héros qui ose se dresser contre le système, et n’hésite pas à se sacrifier pour son idéal »
« Quand on suit un personnage qui incarne des valeurs et un combat légitime, on s’identifie à lui. On ne peut que s’attacher à Denis Robert et à Van Ruymbeke qui, d’une certaine manière, sont des «justes ». Et comme ils ne parviennent pas à leurs fins, on les aime d’autant plus.»
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