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Le combat ordinaire

LE COMBAT ORDINAIRE – un film de Laurent Tuel, d’après la BD de Manu Larcenet (Ed. Dargaud) avec Nicolas Duvauchelle et Maud Wyler
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
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  (© Haut et Court)

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SYNOPSIS

"Le combat ordinaire" c'est le combat de Marco, jeune trentenaire, un brin bourru, mais animé de bonnes intentions et qui, à partir de petites choses, de belles rencontres, d'instants précieux, souvent tendres, parfois troublants, va se reconstruire et vaincre ses vieux démons.

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Le réalisateur Laurent Tuel, à propos de son film  :

« Mon désir était de faire un film loin de Paris, où la nature, les paysages auraient une place importante dans l’histoire des personnages. Christophe m’a parlé du Combat ordinaire dont j’avais lu le premier tome au moment de sa sortie en librairie... J’ai donc lu la suite. Comme pour beaucoup de gens, j’y ai retrouvé des éléments très personnels qui résonnaient avec mes questions de l’époque. »

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« Au cinéma, ce que je préfère, c’est être happé. Alors, en haut de chaque page de mon cahier de préparation au tournage, j’avais écrit le mot « hypnose ». Comme un mantra qui me rappelait chaque jour qu’avec les sons, la musique, images et lumières, je devais créer un état particulier, une atmosphère permettant de percevoir le réel d’une manière légèrement...irréelle. »

 

« Tout le monde dit qu’il est difficile d’adapter une bande dessinée, mais pour moi Le Combat Ordinaire est avant tout une œuvre littéraire, romanesque. Le dessin ici était moins important, ce n’est pas ce qui m’a guidé pour faire ce film. Néanmoins j’ai été très troublé en lisant Le rapport de Brodek, le dernier livre de Manu Larcenet, car j’y trouve beaucoup de choses visuelles qui sont dans le Combat Ordinaire. »

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« Mon projet est avant tout de faire une œuvre romanesque. Mais l’histoire couvre plus de trois ans de la vie du personnage et donc la politique, ou tout du moins son climat, ne pouvait être évincé […] C’est aussi, je crois, un film sur le pardon : ne jamais oublier, mais tenter de comprendre. »

 

« Pour l’ensemble des personnes qui ont collaboré à la fabrication du film j’ai cherché une formule qui résumerait mes intentions : « Cette histoire, c’est une longue descente vers le bonheur. »

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