Cet article date de plus d'onze ans.

Amélie Nothomb retourne au Japon avec "La nostalgie heureuse"

"La nostalgie heureuse", est annoncé chez Albin Michel à la rentrée. Chaque année, la sortie du roman d'Amélie Nothomb est un petit évènement. Les premières infos ont filtré autour du dernier, entouré jusqu'ici de mystère.
Article rédigé par Laurence Houot
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Après "Barbe bleue" l'an dernier,  "La nostalgie heureuse" (Albin Michel),  le 22e roman d'Amélie Nothomb, sort à la rentrée 2013
 (Pablozamora / Albin Michel)

Une rentrée sans Nothomb, c'est comme un printemps sans soleil, triste. Heureusement, Amélie Nothomb, plus sûre que le ciel, publie chaque année un roman. Celui de 2013 s'appelle "La nostalgie heureuse". Jusqu'ici rien n'a filtré de ce qu'il nous réserve, enfin presque. Le 13 juin son éditeur, Albin Michel, en a dévoilé quelques lignes sur son compte twitter, sous forme de "pic".

Dans ces quelques lignes, on y apprend que l'écrivain revient sur un thème qui lui est cher, le Japon, où elle a passé les premières années de son enfance, et déjà théâtre de plusieurs de ses romans, dont "Stupeur et Tremblements", en 1999, Grand Prix du Roman de l'Académie Française.
 
Dix jours plus tard (le dévoilement progressif faisant monter le désir - méthode Daft Punk), Amélie Nothomb en dit un peu plus dans une interview accordée au quotidien La depêche du Midi , à l'occasion de sa participation au Marathon des mots, qui se tient à Toulouse du 27 au 30 juin.

Autofiction japonaise

Dans ce roman d'autofiction, donc, il est question de son premier amour à 20 ans avec Rinri, un joaillier nippon qu'elle avait failli épouser puis éconduit. Cette histoire était déjà le sujet d'un roman, "Ni d'Ève ni d'Adam" (Albin Michel, 2007 et Prix de Flore).

Bon, on le lit et on vous en parle (mais pas avant le 20 août !). En attendant, une phrase, la première, à méditer : "Tout ce que l'on aime devient une fiction".
  (Albin Michel)

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.