Amélie Nothomb retourne au Japon avec "La nostalgie heureuse"
Une rentrée sans Nothomb, c'est comme un printemps sans soleil, triste. Heureusement, Amélie Nothomb, plus sûre que le ciel, publie chaque année un roman. Celui de 2013 s'appelle "La nostalgie heureuse". Jusqu'ici rien n'a filtré de ce qu'il nous réserve, enfin presque. Le 13 juin son éditeur, Albin Michel, en a dévoilé quelques lignes sur son compte twitter, sous forme de "pic".
Dans ces quelques lignes, on y apprend que l'écrivain revient sur un thème qui lui est cher, le Japon, où elle a passé les premières années de son enfance, et déjà théâtre de plusieurs de ses romans, dont "Stupeur et Tremblements", en 1999, Grand Prix du Roman de l'Académie Française.#RentréeLittéraire Découvrez un extrait du nouveau livre d’#AmélieNothomb, "La nostalgie heureuse" (sortie le 21/08) pic.twitter.com/eo52DEEROB
— Albin Michel (@AlbinMichel) June 13, 2013
Dix jours plus tard (le dévoilement progressif faisant monter le désir - méthode Daft Punk), Amélie Nothomb en dit un peu plus dans une interview accordée au quotidien La depêche du Midi , à l'occasion de sa participation au Marathon des mots, qui se tient à Toulouse du 27 au 30 juin.
Autofiction japonaise
Dans ce roman d'autofiction, donc, il est question de son premier amour à 20 ans avec Rinri, un joaillier nippon qu'elle avait failli épouser puis éconduit. Cette histoire était déjà le sujet d'un roman, "Ni d'Ève ni d'Adam" (Albin Michel, 2007 et Prix de Flore).
Bon, on le lit et on vous en parle (mais pas avant le 20 août !). En attendant, une phrase, la première, à méditer : "Tout ce que l'on aime devient une fiction".
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