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Littérature : "une saison douce", un conte polyphonique "étrange et fascinant"

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Littérature : "une saison douce", un conte polyphonique "étrange et fascinant".
Littérature : "une saison douce", un conte polyphonique "étrange et fascinant". Littérature : "une saison douce", un conte polyphonique "étrange et fascinant". (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo - Anne-Marie Revol
France Télévisions

Jeudi 25 mars, Anne-Marie Revol est présente sur le plateau du 23 Heures pour présenter sa chronique littéraire. Au programme "une saison douce" de Milena Agus, publié aux éditions Liana Levi.

Milena Agus publie "une saison douce" aux éditions Liana Levi. "On retrouve la Sardaigne, pas du tout celle de carte postale, mais plutôt son revers. On est dans un hameau, les maisons sont abîmées, les routes dépavées, le train ne s'arrête plus (...), d'un seul coup vont débarquer des migrants pour la plupart noirs, accompagnés de leurs humanitaires complétement débordés", explique la journaliste Anne-Marie Revol sur le plateau du 23 Heures. Milena Agus explore la rencontre de deux mondes qui s'observent. "Alors que tout devrait exploser, petit à petit les choses vont s'imbriquer (...). Chacun va donner son humanité à l'autre, c'est extrêmement beau", explique Marie-Anne Revol sur le plateau du 23 Heures. "Un conte polyphonique, étranger et fascinant, émouvant et bouleversant, drôle et presque caustique", conclut la journaliste. 

"Tout peut s'oublier", un sujet d'actualité 

Olivier Adam signe "Tout peut s'oublier" aux éditions Flammarion. Dans cet ouvrage, l'auteur regroupe ses passions pour le cinéma, la Bretagne et le Japon. Nathan, le héros, rencontre une céramiste au Japon qu'il emmène en Bretagne, ensemble ils ont un enfant. Un jour, cette femme disparaît avec leur fils. "Elle n'a pas laissé d'adresse, elle n'a pas prévenu et il ne sait plus quoi faire pour se rapprocher de ce fils", explique la journaliste. Un sujet d'actualité récurrent où les pères étrangers se battent pour retrouver leur enfant. "On perçoit très bien le paradoxe du Japon à la fois très raffiné et barbare", comment Anne-Marie Revol.

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