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Fashion week : l'hommage glamour de Guy Laroche à Mireille Darc

Article rédigé par Corinne Jeammet
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Pour son arrivée chez Guy Laroche, Richard René a rendu un hommage glamour à Mireille Darc, actrice disparue cet été. Le couturier fait revivre la silhouette longiligne de celle qui fut la "meilleure amie de Guy Laroche". Pour les 60 ans de la Maison, il redéfinit les contours d'un nouveau minimalisme. Epure, graphisme et architecture sont les mots clefs de son vestiaire !

Yannis Vlamos

En dix-sept pièces, le créateur - adepte de l'épure, du noir et du blanc - renoue avec l'audace qui animait la Maison dans les années 70 et 80. Pour les 60 ans de la Maison, Richard René redéfinit ici les contours d'un nouveau minimalisme. 
 (Patrick KOVARIK / AFP)
"L'inspiratrice de cette collection est la plus fidèle cliente et amie de Monsieur Guy Laroche. Cette célèbre actrice et les nombreux réalisateurs qui l'ont fait tourner ont porté le style de la Maison tout au long de sa carrière" indique une note remise aux invités du show. 
 (Patrick KOVARIK / AFP)
Le fameux décolleté dos nu en version maillot de bain et combinaison noirs
 (Yannis Vlamos)
Le couturier fait revivre la silhouette longiligne de l'actrice, "meilleure amie de Guy Laroche". Une combinaison et un maillot de bain noirs dévoilent une chute de reins vertigineuse. C'est un clin d'œil glamour et chic à la scène du "Grand blond avec une chaussure noire" où la robe dos nu de Mireille Darc laisse Pierre Richard bouche bée. 
 (Maitre/WWD/Shutterstock/SIPA)
Les mannequins - en perruque blonde coupe carrée et grosses lunettes solaires rondes - portent des tailleurs pantalons et des robes déstructurées, architecturées et graphiques. Les épaules sont marquées, des découpes créent des jeux d'ouvertures et d'asymétrie. Les paillettes des années 70 s'incrustent en bandes horizontales sur une robe : elles alternent avec des jeux de transparence qui exigent une silhouette cependant parfaite.
 (Patrick KOVARIK / AFP)
"J'ai essayé de faire des choses à la fois des années 60, 70, 80 et d'aujourd'hui, donc hybrides, dessus dessous", a expliqué le créateur, formé chez Hermès avant de travailler chez Jean Paul Gaultier.
 
 (Patrick KOVARIK / AFP)

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