Cet article date de plus de six ans.

Focus sur les accessoires qui ont magnifié la haute couture printemps-été 2018

Article rédigé par Corinne Jeammet
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
La haute couture couronne des savoir-faire traditionnels issus du travail à la main. Il fut une époque où Paris fourmillait d’ateliers. Ce n’est plus le cas aujourd'hui même si des artisans spécialisés dans la fabrication des accessoires - sacs, bijoux, ceintures...- ont résisté. Retour en images sur cette spécificité française au travers des shows parisiens du printemps-été 2018.

FRANCOIS GUILLOT / AFP

Elie Saab puise son inspiration dans le Paris bouillonnant des années 1920. Les accessoires, parés de bijoux, reflètent les lignes fortes et les structures géométriques associées à l’architecture Art déco. Les lunettes sont décorées, avec des chaînes dorées et de minuscules perles blanches et roses tombant jusqu’aux épaules de part et d’autre des montures. 
 (Patrick KOVARIK / AFP)
La culture amérindienne est au coeur de la collection de Zuhair Murad. La maison tire sa révérence à l’artisanat de diverses tribus, notamment les Sioux, les Navajos, les Iroquois, et puise son inspiration dans les motifs, imprimés, pictogrammes, et broderies traditionnelles.
 (BERTRAND GUAY / AFP)
Christine Hyun Mi Nielsen est la fondatrice et directrice de la création de Hyun Mi Nielsen. Danoise, elle est née en Corée du Sud.
 (Bertrand GUAY / AFP)
La collection "Under My Skin" a aussi été l'occasion pour le duo de créateurs de la maison On Aura Tout Vu de présenter leurs premières collections solaires et optiques réalisées avec le lunetier Tonysame Japan. Résultat : une combinaison de matèriaux et de coloris innovants et exclusifs pour des montures architecturées.
 (Courtesy of On Aura Tout Vu)
Chez Schiapareli, le directeur artistique Bertrand Guyon s'est entiché de la nature et de ses insectes : graciles, les ailes de papillons multiplient leurs battements au rythme des passages brochés en jacquard fil coupé, imprimés 3D, peints à la main, brodés en relief ou en chenille tuftée. 
 (Patrick KOVARIK / AFP)
La créatrice est née en Russie dans une famille de couturières, où elle apprend dès son plus jeune âge la couture et le dessin. C’est à 30 ans qu‘elle crée sa marque Galia Lahav, secondée par Sharon Sever. Elle a présenté une collection pour les Belles de nuit qui aiment les paillettes et briller !
 (FRANCOIS GUILLOT / AFP)
La maison Georges Hobeika s'est inspirée des splendeurs antiques de la civilisation grecque pour sa collection printemps-été 2018 et les accessoires tels que les sacs s'ornent de détails et de broderies raffinés. 
 (ALAIN JOCARD / AFP)
Chez Giorgio Armani; le ciel et toutes ses nuances - ce ciel toujours changeant - se reflètent dans cette collection comme dans les accessoires.
 (Patrick KOVARIK / AFP)
Chez Proenza Schouler, maison phare de la mode new-yorkaise, fondée en 2002 par Lazaro Hernandez et Jack McCollough, la collection prêt-à-porter automne-hiver 2018-19 explore l'héritage de l'artisanat américain. Il est présent sur les accessoires sous la forme de cordons en cuir macramé, de broderies en métal au crochet sur la mousseline de soie, de patchwork de cuir complexe.
 (Bertrand GUAY / AFP)
Julien Fournié a composé un vestiaire en compagnie des héroïnes asiatiques qui peuplent son imaginaire. Dans des lignes résolument 1950, il ose le pois sur un serre-taille de tradition asiatique. Le tout dans des tons poudrés.
 (FRANCOIS GUILLOT / AFP)
Chez Chanel, les femmes portent des bottines en tweed pointues, montant jusqu'à mi-mollet. Parfois elles ont aussi des mitaines noires, indissociables du look personnel de Karl Lagerfeld. 
	 
 (Patrick KOVARIK / AFP)
Le Cambodge et le charme des temples d'Angkor Var a inspiré Antonio Grimaldi pour sa collection. On retrouve cette inspiration sur les coiffures des mannequins.
 (Shutterstock/SIPA)

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.