Mode : les santiags, des bottes de qualité qui font toujours des adeptes

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Apparues à la fin du XIXe siècle chez les cowboys, les santiags ont été popularisées par les westerns, mais aussi en France par les rockeurs comme Johnny Hallyday. Des bottes de qualité qui inspirent encore les créateurs.
Mode : les santiags, des bottes de qualité qui font toujours des adeptes Apparues à la fin du XIXe siècle chez les cowboys, les santiags ont été popularisées par les westerns, mais aussi en France par les rockeurs comme Johnny Hallyday. Des bottes de qualité qui inspirent encore les créateurs. (France 2)
Article rédigé par France 2 - C. Sinz, P. Aubert, A. Pacary, G. Gheorghita, A. Boulet
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Apparues à la fin du XIXe siècle chez les cowboys, les santiags ont été popularisées par les westerns, mais aussi en France par les rockeurs comme Johnny Hallyday. Des bottes de qualité qui inspirent encore les créateurs.

S'il y a bien un endroit où les santiags sont incontournables, c'est dans les cours de danse country. Ces bottes sont apparues à la fin du XIXe siècle. Idéales pour les cowboys, elles ont été popularisées par les westerns. Les santiags ont franchi l'Atlantique dans les années 1960 grâce aux rockeurs, qui ont lancé la mode. Elles marquaient une attitude rebelle, et étaient les bottes des mauvais garçons. Les santiags allaient de pair avec les noms américains des stars de l'époque : Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Dick Rivers. Tous les collectionnaient.

Certains modèles à plusieurs milliers d'euros

Si la santiag a autant de fans, c'est parce que c'est une botte de qualité. Le magasin parisien "El Paso Booty" importe depuis 50 ans les santiags faites au Texas et au Mexique. Une qualité qui se paye entre 400 et 600 euros, voire plusieurs milliers d'euros quand les bottes sont en peau exotique. Deux créatrices parient sur la fantaisie et des modèles plus urbains avec leur marque "Santiags Mariel" et jouent la carte parisienne. Les deux femmes font partie des rares fabricants français.

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