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Philippe Katerine en elfe déjanté au festival Europavox à Clermont-Ferrand
Un OVNI. Depuis 25 ans, Philippe Katerine bouscule la scène musicale par sa joyeuse fantaisie et sa poésie du quotidien. Ce vendredi 3 juin à Clermont-Ferrand, le public d’Europavox a une fois de plus succombé au charme rieur de cet elfe inclassable. Le fou rire est garanti.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : R.Beaune / L.Pastural / D.Salmon / B.Ordas
"On était tous une goutte de sperme, plus forte que les autres gouttes, vous êtes des winners !". Philippe Katerine a sa façon bien à lui de galvaniser les foules. Face au public clermontois, le chanteur a fait un grand numéro ce vendredi 3 juin sur la scène d’Europavox. Coiffé d’une couronne de plumes, déguisé en elfe tout droit sorti du "Songe d’une nuit d’été", le fantasque interprète de "La banane" embarque les spectateurs dans son monde à la fois insolite et poétique.
Plus qu’un concert, aller voir Philippe Katerine c’est assister à un one-man show où le rire le dispute à la mélancolie. Comme quand l’artiste se penche sur la destinée d’un poulet d’élevage. C’est drôle mais aussi teinté d’une cruelle réalité.
"Le film", son dernier album écrit au décès de son père, parle de la vie, de la mort, de l’amour et aussi des petits tracas du quotidien : "C'est un disque de questions philosophiques… Première année, je vous rassure. Faut pas s'emballer !", conclut l’artiste en riant.
"On était tous une goutte de sperme, plus forte que les autres gouttes, vous êtes des winners !". Philippe Katerine a sa façon bien à lui de galvaniser les foules. Face au public clermontois, le chanteur a fait un grand numéro ce vendredi 3 juin sur la scène d’Europavox. Coiffé d’une couronne de plumes, déguisé en elfe tout droit sorti du "Songe d’une nuit d’été", le fantasque interprète de "La banane" embarque les spectateurs dans son monde à la fois insolite et poétique.
Plus qu’un concert, aller voir Philippe Katerine c’est assister à un one-man show où le rire le dispute à la mélancolie. Comme quand l’artiste se penche sur la destinée d’un poulet d’élevage. C’est drôle mais aussi teinté d’une cruelle réalité.
"Le film", son dernier album écrit au décès de son père, parle de la vie, de la mort, de l’amour et aussi des petits tracas du quotidien : "C'est un disque de questions philosophiques… Première année, je vous rassure. Faut pas s'emballer !", conclut l’artiste en riant.
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