Cet article date de plus de huit ans.
Marivaudage et siestes musicales au programme des Nancyphonies 2016
Les jeux de l’amour et du hasard… Ce spectacle inspiré de l’œuvre de Marivaux est l’un des concerts phares donnés dans le cadre des Nancyfolies. A l’image de ce 18e siècle empreint de grâce et de légèreté, le festival a choisi d’offrir, cette année, outre les concerts, des siestes musicales en plein air, des dialogues symphoniques ou encore des "heures exquises". Tout un programme !
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Temps de lecture : 1min
Reportage : B.Courtaux / D.Lahondé / E.Targe
Un air de badinage flotte cet été dans les rues de Nancy et de son agglomération. Au détour d’une allée, dans un parc, une église, des notes de musique résonnent. Mozart, Bach, Schubert… Une flânerie musicale qui est désormais la marque de fabrique des Nancyphonies. Mais attention, légèreté ne veut pas dire amateurisme, bien au contraire. Les 25 concerts – dont certains gratuits – proposés jusqu’au 29 août réunissent la crème de la musique classique actuelle.
La pianiste Amy Lin, la soprano Felicity Lott, les jeunes prodiges Lucas Debargue et Nicolas Bourdoncle… Il y aura du beau monde cette année encore dans la capitale lorraine. Du beau monde et de l’originalité avec, comme leitmotiv, l'interactivité. Ainsi ce "Jour où j’ai rencontré Franz Liszt " (29 juillet), spectacle durant lequel le pianiste Pascal Amoyel joue de son instrument autant que la comédie pour raconter sa relation particulière avec le compositeur hongrois. Autre moment fort, ce dialogue musical entre le directeur artistique du festival, Hugues Leclère (ici en interview) et le très charismatique Jean-François Zygel. De belles soirées en perspective jusqu’à la fin de l’été…
Un air de badinage flotte cet été dans les rues de Nancy et de son agglomération. Au détour d’une allée, dans un parc, une église, des notes de musique résonnent. Mozart, Bach, Schubert… Une flânerie musicale qui est désormais la marque de fabrique des Nancyphonies. Mais attention, légèreté ne veut pas dire amateurisme, bien au contraire. Les 25 concerts – dont certains gratuits – proposés jusqu’au 29 août réunissent la crème de la musique classique actuelle.
La pianiste Amy Lin, la soprano Felicity Lott, les jeunes prodiges Lucas Debargue et Nicolas Bourdoncle… Il y aura du beau monde cette année encore dans la capitale lorraine. Du beau monde et de l’originalité avec, comme leitmotiv, l'interactivité. Ainsi ce "Jour où j’ai rencontré Franz Liszt " (29 juillet), spectacle durant lequel le pianiste Pascal Amoyel joue de son instrument autant que la comédie pour raconter sa relation particulière avec le compositeur hongrois. Autre moment fort, ce dialogue musical entre le directeur artistique du festival, Hugues Leclère (ici en interview) et le très charismatique Jean-François Zygel. De belles soirées en perspective jusqu’à la fin de l’été…
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