Le portrait d'enfant, un classique des pochettes de rap
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On craque tous pour la pochette du second album solo de Joey Starr, "Egomaniac". Plein cadre, la bouille d'un petit métis, afro et tétine au bec. Malgré ses airs vintage, il ne s'agit pas d'une photo de l'artiste enfant mais un cliché de son propre fils.
Dans le hip-hop, le portrait d'enfant en guise de couverture d'album est en passe de devenir un classique. Nas, Notorious Big et Lil Wayne ont déjà donné. Et les albums en question sont précisément devenus des inusables. Ceci pourrait-il expliquer cela ? Sans doute un peu, mais pas seulement. Sans donner dans la psychologie de bazar, il y a sans doute derrière cela une quête d'innocence. Et quand il s'agit d'une photo de l'artiste lui-même, une façon de dire : "voilà qui j'étais avant d'être ce rappeur enragé". Démonstration en 10 pochettes par ordre chronologique.
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