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Monty Alexander et son piano jazz couleur Jamaïque à Ramatuelle

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Article rédigé par Jean-Michel Ogier
France Télévisions - Rédaction Culture
Jazz à Ramatuelle a 30 ans. Le pianiste Monty Alexander, un fidèle du festival, ne pouvait manquer la fête. Avec son trio inédit, il a charmé les habitués des lieux de son swing mâtiné des rythmes de son île natale, la Jamaïque.

Les habitués de Jazz à Ramatuelle le connaissent bien et pour cause. Monty Alexander est déjà venu ici à quatre reprises. Lui qui fut le complice des légendaires Ray Brown ou Milt Jackson incarne un piano jazz tout en swing teinté des influences de son pays d'origine, la Jamaïque, et des sonorités de son maître Wynton Kelly.

Cette année, il a d'ailleurs fait un clin d'oeil à une autre célébrité mondiale de l'île, un certain Bob Marley, avec une version revisitée de "No woman, no cry".

Reportage: Hélène Maman, Laurence Collet, Fabrice Gras, Géraldine Giordano


À Ramatuelle, Monty Alexander présentait un trio inédit. Il était accompagné d'Hassan Shukur à la contrebasse et d'Obed Calvaire, l'un des batteurs les plus demandés actuellement sur la scène jazz.

Ce soir, le batteur suisse Daniel Humair prend le relais. Mercredi 19 août, Baptiste Trotignon viendra navec son trio présenter son dernier album, "Hit". Et c'est un autre pianiste célèbre, Jacky Terrasson, qui clôture jeudi cette 30e édition de Jazz à Ramatuelle.

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