Bataille autour de l'héritage : Laeticia Hallyday "essaie" de négocier avec David Hallyday et Laura Smet
Alors que le disque posthume de Johnny Hallyday bat des records de vente dès sa sortie, sa veuve a évoqué le combat judiciaire qui l'oppose à Laura Smet et David Hallyday autour de l'héritage du chanteur.
Laeticia Hallyday est toujours engagée dans une bataille judiciaire autour du testament américain de Johnny, qui déshérite à son profit les enfants du chanteur, Laura Smet et David Hallyday. La veuve du chanteur a expliqué qu'elle essayait de négocier avec eux, vendredi 19 octobre sur TF1, pour sa première interview depuis la sortie de l'album posthume Mon pays c'est l'amour.
C'est compliqué, parce qu'il y a beaucoup de choses qui sont orchestrées. Il y a beaucoup de haine, de mépris, d'humiliation, des mensonges qui vous font mal. C'est difficile à entendre, c'est difficile de subir ça.
Laeticia Hallydaysur TF1
Interrogée sur les concessions qu'elle était prête à faire dans cette bataille, Laeticia Hallyday a répondu : "Beaucoup de choses, mais je pense que ce sont des choses intimes. Je n'ai pas trop envie d'en parler ce soir".
"Cette assignation (...) m'a dévastée "
La femme du chanteur serait prête à accorder davantage aux aînés du chanteur, comme elle l'explique également dans un entretien accordé à RTL, qui sera diffusé samedi. "Oui en respectant les volontés de mon homme, mais en essayant d’y mettre beaucoup d’empathie".
J’essayais de faire mon deuil, de trouver la paix et j’ai reçu cette assignation à mon nom et celles de mes filles. Ça m’a dévastée. Ils ne m’ont jamais appelé.
Laeticia Hallydaysur RTL
Laeticia Hallyday a également commenté la sortie du disque, qui s'est déjà vendu à 300 000 exemplaires physiques (CD et vinyles) lors de la première journée de sa mise en vente. "C'est un album qui a été réalisé dans la douleur, dans le combat contre cette maladie, a-t-elle expliqué sur TF1. C'était l'album de la résilience, du courage, de la détermination à vouloir dire quelque chose, vouloir parler de sa liberté de pensée, de sa fureur de vivre et puis d'amour."
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