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Avec Morik, le folk caribéen a trouvé sa voix

« Comme un appel », c’est le titre du deuxième album de Morik, qui sortira en avril dans les bacs. Cet auteur-compositeur-interprète trentenaire est originaire de la Guadeloupe mais c’est en Lorraine qu’il a posé ses valises pour vivre de sa musique, un chaleureux mélange de rythmes caribéens et de chanson française. Rencontre avec l'artiste qui peaufine son "appel".
Article rédigé par Chrystel Chabert
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Morik
 (Morik)
Reportage : Anne-Laure Chery, François Bobet, Alain Thierry, Isabelle Cavaletto
Il y a trois ans, en avril 2010, Morik sortait son premier album  « Tropicalmenté », son premier album acoustique et « épicé ». Celui que l’état civil connaît sous le nom de Lyonel Perrauc avait déjà trouvé sa saveur personnelle en métissant les sons et mots de la Caraïbe avec de la chanson française, du reggae et du folk. 

Mais c’est d’abord en tant que bassiste qu’il a « tâté de la scène », assurant les premières parties de Calogero, Ange, Big Mama, Louis Bertignac, Tony Coleman… Après  500 concerts comme « sideman » (un musicien professionnel qui joue dans un groupe sans en être un membre permanent), il décide d’occuper le devant de la scène et de chanter, guitare en bandoulière.
 
Pour son nouvel album, il a convoqué quelques pointures, dont les frères Fanfant : Thierry, bassiste d’Ayo et de Bernard Lavilliers et Jean-Philippe, batteur de Christophe Maé et Mario Canonge. Le 21 mars prochain, vous croiserez peut-être Morik à Nancy, en plein tournage du clip de la chanson « Comme un appel ». Vu la chaleur que dégage sa musique, vous devriez avoir une furieuse envie d’y répondre…

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