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Un "Enlèvement au sérail" entre classique et modernité à Metz
Joël Lauwers, le metteur en scène a choisi de jouer sur les anachronismes pour cette nouvelle version de "L’enlèvement au sérail" de Mozart, un opéra qui se prête aisément à ces initiatives.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : Yoann Rodier, François Carretier et Jean-Marie Nidercorn
"L’enlèvement au sérail" est le 1er des cinq grands opéras de Mozart. Il avait 26 ans quand il a l’écrit. Un opéra à la musique riche et flamboyante qui peut permettre bien des initiatives de mise en scène. D’autant que les sentiments qui s’y affrontent sont eux aussi denses et complexes, entre fidélité, jalousie, puissance, soumission et même bonté humaine.
Joël Lauwers qui a vu dans "L’enlèvement" un conte mystérieux ou un voyage initiatique a voulu mêler dans sa mise en scène l’anachronisme toujours séduisant qui allie modernisme modéré et base classique.
L’argument
Fiancée à Belmonte, la belle Konstanze est enlevée par des pirates et vendue au Pacha Sélim qui la retient prisonnière. Belmonte, au-delà des mers, va parvenir à s’introduire dans le palais du sultan. Aventure, humour et poésie composent cette fable orientale qui est aussi un magnifique hommage au courage d’une héroïne inébranlable dans sa fidélité amoureuse.
Opéra-Théâtre de Metz-Métropole
Les 20, 22 et 24 février
Fiancée à Belmonte, la belle Konstanze est enlevée par des pirates et vendue au Pacha Sélim qui la retient prisonnière. Belmonte, au-delà des mers, va parvenir à s’introduire dans le palais du sultan. Aventure, humour et poésie composent cette fable orientale qui est aussi un magnifique hommage au courage d’une héroïne inébranlable dans sa fidélité amoureuse.
Opéra-Théâtre de Metz-Métropole
Les 20, 22 et 24 février
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