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Revoir Damon Albarn en long et en Live dans Alcaline
L'émission Alcaline consacrait jeudi soir ses 50 minutes à Damon Albarn. Alors que le charismatique leader de Blur et des Gorillaz sort son premier album solo, "Everyday Robots", Alcaline offrait un beau portrait avec une interview intime et trois morceaux joués live au Trianon en exclusivité. Le programme est à retrouver en intégralité en replay sur Culturebox.
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Temps de lecture : 2min
Suivez ce lien pour retrouver l'émission complète en Replay ou cliquez sur l'icône Alcaline à droite.
Une interview intime
Dans l'émission, comme sur son album solo, Damon Albarn se raconte, face caméra. Il livre ses hauts et ses bas, ses aspirations intimes, ses rencontres musicales, son expérience avec Blur et les Gorillaz.
On y apprend par exemple qu'il écoute beaucoup de musique religieuse et que son fantasme musical "serait de jouer Rachmaninov au piano". "Si je m'entraînais, je suis sûr que je pourrais y arriver, mais j'ai toujours été un mauvais élève", dit-il.
Quelle musique lui tire des larmes ? Sans hésiter, il se souvient d'un concert du Buena Vista Social Club durant lequel il avait pleuré non stop. "J'ai chialé durant tout le concert et ça ne m'est jamais arrivé depuis", raconte-t-il.
Blur, les Gorillaz et les musiciens africains
Il se souvient aussi d'avoir été submergé par l'émotion lors du concert de Blur en 2009 au festival de Glastonbury et assure que malgré la séparation du groupe, ils sont toujours "très proches", comme "une famille".
Les débuts des Gorillaz sont aussi au menu : l'idée lui est venue alors qu'il devisait sur un canapé avec son ami graphiste Jamie Hewlett (responsable des personnages virtuels des Gorillaz). "On regardait MTV et on se disait qu'on pouvait faire bien mieux".
Très admiratif des musiciens africains, avec lesquels il a monté notamment Mali Music et Africa Express, Damon Albarn évoque également sa rencontre avec le maître de la kora Toumani Diabaté et rend un hommage affectueux au célèbre couple malien Amadou et Mariam.
Il parle même de ses rapports avec la France, qui remontent à son enfance. Ses parents, tous deux enseignants, étaient "les plus francophiles des Anglais", assure-t-il.
Trois morceaux live enregistrés au Trianon
Côté live, Damon Albarn joue trois morceaux disséminés dans l'émission et enregistrés spécialement pour Alcaline au Trianon le 25 mars dernier.
Entouré de quatre musiciens et de six choristes, sans doute le groupe avec lequel il va effectuer sa nouvelle tournée, il interprète "Mr Tembo", écrite en Tanzanie pour un jeune éléphant, "To the End", une chanson de Blur quasiment jamais jouée live et "Heavy Seas of Love", qui referme son très bel album solo "Everyday Robots".
Une belle façon de patienter avant sa petite tournée des festivals cet été, et de consoler ceux qui ne pourront assister au concert de l'Alhambra (complet) lundi 5 mai.
Une interview intime
Dans l'émission, comme sur son album solo, Damon Albarn se raconte, face caméra. Il livre ses hauts et ses bas, ses aspirations intimes, ses rencontres musicales, son expérience avec Blur et les Gorillaz.
On y apprend par exemple qu'il écoute beaucoup de musique religieuse et que son fantasme musical "serait de jouer Rachmaninov au piano". "Si je m'entraînais, je suis sûr que je pourrais y arriver, mais j'ai toujours été un mauvais élève", dit-il.
Quelle musique lui tire des larmes ? Sans hésiter, il se souvient d'un concert du Buena Vista Social Club durant lequel il avait pleuré non stop. "J'ai chialé durant tout le concert et ça ne m'est jamais arrivé depuis", raconte-t-il.
Blur, les Gorillaz et les musiciens africains
Il se souvient aussi d'avoir été submergé par l'émotion lors du concert de Blur en 2009 au festival de Glastonbury et assure que malgré la séparation du groupe, ils sont toujours "très proches", comme "une famille".
Les débuts des Gorillaz sont aussi au menu : l'idée lui est venue alors qu'il devisait sur un canapé avec son ami graphiste Jamie Hewlett (responsable des personnages virtuels des Gorillaz). "On regardait MTV et on se disait qu'on pouvait faire bien mieux".
Très admiratif des musiciens africains, avec lesquels il a monté notamment Mali Music et Africa Express, Damon Albarn évoque également sa rencontre avec le maître de la kora Toumani Diabaté et rend un hommage affectueux au célèbre couple malien Amadou et Mariam.
Il parle même de ses rapports avec la France, qui remontent à son enfance. Ses parents, tous deux enseignants, étaient "les plus francophiles des Anglais", assure-t-il.
Trois morceaux live enregistrés au Trianon
Côté live, Damon Albarn joue trois morceaux disséminés dans l'émission et enregistrés spécialement pour Alcaline au Trianon le 25 mars dernier.
Entouré de quatre musiciens et de six choristes, sans doute le groupe avec lequel il va effectuer sa nouvelle tournée, il interprète "Mr Tembo", écrite en Tanzanie pour un jeune éléphant, "To the End", une chanson de Blur quasiment jamais jouée live et "Heavy Seas of Love", qui referme son très bel album solo "Everyday Robots".
Une belle façon de patienter avant sa petite tournée des festivals cet été, et de consoler ceux qui ne pourront assister au concert de l'Alhambra (complet) lundi 5 mai.
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