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Rock en Seine : retour sur la première journée en 10 moments

La onzième édition de Rock en Seine attaque sa seconde journée ce samedi après-midi, sous un temps incertain. Pour ceux qui ont raté la première journée, Culturebox récapitule en dix points.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 6min
Rock en Seine 2013, pendant le concert de Franz Ferdinand
 (Clément Martel / Culturebox)
01 Chance the Rapper assure à l’ouverture
  (Clément Martel / Culturebox)
Le jeune prodige du rap US a entamé les festivités sur la Grande Scène. Avec un quart d’heure de retard, au cours duquel son DJ a chauffé la foule. A-t-il eu du mal à se remettre de sa nuit parisienne, entre la première partie d’Eminem au Stade de France et le domaine de Saint-Cloud ? En tout cas rien à redire sur sa performance, que vous pouvez retrouver chroniquée ici
>> Chance the Rapper ouvre la bal à Rock en Seine 

02 Fête nationale écossaise
Avec The Pastels, Belle and Sebastian et Franz Ferdinand, le pays au chardon est à l’honneur en cette première journée. Et dans le public, certains lui rendent hommage. Ce drapeau, Stuart Murdoch, le chanteur de Belle and Sebastian l’a remarqué, et s’en est réjoui au micro, tout en affirmant - à raison - qu’il devait être là pour le quatuor mené par Alex Kapranos.

03 Tame Impala envoûte la Grande Scène
  (louisegrbl/Instagram)
Le thème de l'édition 2013 de Rock en Seine est la mer, et ça tombe bien, les Australiens de Tame Impala ont embarqué le très nombreux public à bord d'un navire psychédélique. Le show de Kevin Parker et consorts, soutenu par des écrans géants transformés en kaléidoscopes, emballe la foule. Effet Woodstock-sur-Seine garanti avec ces musiciens sans prise de tête n'hésitant pas à redémarrer en souriant un titre mal entamé.
>> Tame Impala, psychédélisme à Rock en Seine

04 Alex Kapranos dévoile les coulisses du festival
  (Alex Kapranos/Twitter)
Avant de monter sur la Grande Scène comme clou du spectacle de cette première journée, le chanteur de Franz Ferdinand s’est montré actif sur les réseaux sociaux, tweetant et postant des photos des concerts auxquels il a assisté backstage.
05 Un premier jour sous la chaleur
  (Clément Martel / Culturebox)

Si la journée du samedi s’annonce plus humide, le jour d’ouverture de cette 11e édition s’est fait sous une grande chaleur. Et le public s’est démené sous une température dépassant les trente degrés au cours de l’après-midi. De quoi inciter à ne pas trop se vêtir.

06 Franz Ferdinand, le retour des héros
  (Clément Martel / Culturebox)
Un son enlevé et très propre, des tubes qui s'enchaînent et un public conquis en délire : pas de doutes, Franz Ferdinand est de retour. Le quatuor écossais dévoile environ la moitié de son nouvel album au cours d'un concert que vous pourrez retrouver en rediffusion sur Culturebox. Au premier rang du public, des fans ont attendu plusieurs heures et raté d'autres concerts pour être au plus près de leurs héros. Et au vu du show proposé par Alex Kapranos et sa bande, ils ne se plaindront pas.
>> Interview de Bob Hardy, le bassiste de Franz Ferdinand 

Reportage : J.-L. Serra, P. Lassus, M. Chekkoumy, L. Comiot
07 Kendrick Lamar surchauffe l’atmosphère… et fait sauter les plombs
  (Clément Martel / Culturebox)
Très attendu, le rappeur de l’année arrive après que son groupe a surchauffé la foule à coup de basses surpuissantes. Après six titres, alors qu’il rappe l’un de ses tubes “Bitch don’t kill my vibe”, la vibe s’éteint, justement. Son micro se coupe, suivi des éclairages de la scène de la Cascade. Littéralement, son son a fait péter les plombs. Déçus, de nombreux spectateurs quittent le lieu en se plaignant de la brièveté du concert. Mais ce n’est que partie remise. Une dizaine de minutes plus tard, les lumières se rallument, le kid de Crompton revient et d’un “Can you hear me now”, relance les danses du public.
>> Dix raisons d'aimer Kendrick Lamar
08 Hanni el Khatib assure
  (Clément Martel / Culturebox)
La diffusion du concert sur Culturebox a peut-être été annulée en raison d’un accident (son bassiste s’est cassé la jambe à moto), mais Hanni el Khatib est bien présent à Rock en Seine. Bassiste intérimaire à sa droite, sur la scène de l’Industrie, le rockeur californien assure le show. Comme son second album, “Head in the Dirt”, le spectacle est très calibré, et le public suit. Défendant un gars du public ayant passé la barrière de sécurité au cours d’une chanson (sans s’interrompre !), Hanni el Khatib avoue son bonheur de revenir à Paris. Lors de son dernier concert dans la capitale, il avait joué en première partie de Johnny Halliday, devant un parterre de… sosies de Johnny qui l’avait marqué.
09 Les excités de !!! (Chk Chk Chk) déboulent
!!! (chk chk chk) à Rock en Seine

Difficile de définir le genre musical de ce groupe, mais une chose est sûre, !!! sont de véritables bêtes de festival. Tout au fond de Rock en Seine, sur la scène Pression Live, ils font monter la température. Ce groupe américain au non-look original, auteur de leur album le plus punk selon le chanteur Nick Offer, fait danser le public. Il danse avec lui, s'offrant même une balade dans la foule.

>> Interview de Nick Offer, de !!! (Chk Chk Chk) 

10 Paul Kalkbrenner clot les festivités
Changement de décor sur la Grande scène où le DJ berlinois transforme la pelouse de Saint-Cloud en dancefloor techno. Au coeur de la nuit, le public se déhanche sur un style très différent de ce qu'il a entendu jusque là. Ce samedi, on changera encore de style, avec Phoenix en tête d'affiche.

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