2 novembre 1979 : la cavale de Jacques Mesrine prend fin
Il y a 41 ans jour pour jour, le fugitif Jacques Mesrine décédait à Paris après avoir été longuement traqué par les autorités. Retour sur la fin de cavale de l'ennemi public numéro un.
Le 2 novembre 1979, Jacques Mesrine meurt au volant de sa voiture sous les balles de la police. La fin brutale d'une cavale, un an et demi après son évasion de la prison de la Santé. Braquages, enlèvements, un journaliste torturé et laissé pour mort : Mesrine incarne une époque brûlante marquée par la violence du banditisme. À la fin du mois d'octobre 1979, des policiers retrouvent sa trace au 3e étage d'un immeuble modeste au nord de Paris.
Un piège tendu sur la route
Il fait doux le 2 novembre lorsque le braqueur démarre sa voiture avec sa compagne. Le piège se referme sur lui quelques centaines de mètres plus loin. Les policiers ouvrent le feu et abattent Mesrine lorsque ce dernier lâche le volant, probablement pour saisir une arme. Clap de fin pour celui qui restera, dans l'imaginaire collectif, l'ennemi public numéro un.
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