Notre-Dame de Paris : les produits dérivés font recette
Depuis l'incendie qui a ravagé une partie du toit de Notre-Dame de Paris, les objets dérivés comme les cartes postales se vendent très bien. Comme le roman de Victor Hugo.
Des boules de neige et beaucoup d'autres souvenirs s'arrachent dans les boutiques ce mercredi 17 avril. Une jeune Espagnole est en mission pour sa mère. "Elle m'a demandée de voir si je pouvais lui rapporter quelque chose qui représente Notre-Dame, c'est pour ça que je lui ai achetée ce dessin où l'on voit la cathédrale", raconte-t-elle. Georges Montero est bouquiniste depuis 30 ans sur les quais de la Seine, depuis l'incendie, il a vendu des centaines de cartes postales. "Comme c'est des cartes anciennes, il va falloir que j'en retrouve", explique-t-il.
Combler un vide
Dans les librairies aussi, Notre-Dame fait vendre. Dans une librairie parisienne, une dame repart déçue, il ne reste rien en magasin. Elle voulait un livre sur l'architecture et les trésors du bâtiment. D'autres sont à la recherche du roman de Victor Hugo, mais comme ailleurs, c'est la rupture de stock. Notre-Dame de Paris est numéro 1 des ventes en ligne, les Français cherchent à combler le vide.
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