Journées du patrimoine : regardez l'édition spéciale du 19/20 de France 3 depuis Toulouse

Article rédigé par Vincent Daniel, Pierre Godon
France Télévisions
Publié Mis à jour
PATRIMOINE FRANCE3

Des coulisses du Crazy Horse à Paris à la reconstitution d'une scène de crime au Palais de justice de Grenoble... Des expériences variées attendent les visiteurs de cette 34e édition.

Ce qu'il faut savoir

Des coulisses du Crazy Horse à Paris à la reconstitution d'une scène de crime au Palais de justice de Grenoble, la 34e édition des Journées européennes du patrimoine, organisée samedi 16 et dimanche 17 septembre, permet de découvrir 17 000 lieux, dont certains sont inaccessibles au grand public le reste de l'année, comme le palais de l'Elysée. A cette occasion, France 3 propose une édition spéciale du "19/20" national, présenté par Catherine Matausch en direct de Toulouse (Haute-Garonne).

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Des expériences très variées. Généralement fermées au grand public, les bases navales de Brest, Cherbourg et Toulon accueilleront des visiteurs, ainsi que la citadelle de Mont-Louis (Pyrénées-Orientales), où s'entraînent les commandos. Autre nouveau venu, mais dans un registre bien différent, le Crazy Horse, à Paris. Pour la première fois, ses coulisses seront ouvertes. Guidés par les danseuses, les visiteurs pourront assister à la préparation d'un show, des répétitions au maquillage des "Crazy girls".

France Télévisions et Radio France également mobilisées. Les deux groupes audiovisuels publics participent à l'événement : leurs sièges, à Paris, seront ouverts au public, mais uniquement aux téléspectateurs et aux auditeurs qui ont préalablement réservé leur place. A France Télévisions, le public pourra notamment découvrir les studios, régies, ou encore assister à des démonstrations météo. Les coulisses de la Maison de la radio seront aussi accessibles et des concerts et ateliers y seront organisés.

Des policiers chez GM&S. Une cinquantaine de policiers et une quarantaine de gendarmes ont été déployés, samedi 16 sepembre, autour de l'usine de GM&S à La Souterraine (Creuse) pour empêcher les salariés d'ouvrir le site au public comme ils souhaitaient le faire pour les Journées européennes du patrimoine (JEP)Selon la préfecture, il s'agit de "la simple application du droit de propriété". Le nouveau propriétaire de l'usine, Alain Martineau, PDG du repreneur GMD, a refusé que l'usine soit ouverte au public.