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Les célèbres "Hokusai manga" exposées à Gravelines : plongée en terre nippone
L’exposition "Esprit Manga" rend hommage à Hokusai. Le musée du dessin et de l’estampe originale de Gravelines présente une soixantaine d’œuvres du célèbre peintre japonais, dont les fameuses "Hokusai manga".
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Reportage : S. Nuyten / P. Mahieu / F. Defrance
Katsushiska Hokusai (1760-1849) est l’un des artistes japonais les plus populaires en Asie et en Europe. Sa renommée a notamment franchi nos frontières avec ses « Hokusai manga ». Des carnets de croquis qui regroupent des milliers de dessins. Un témoignage de la vie japonaise de l’époque, avant l’ouverture vers l’Occident.
Il existe 15 carnets de croquis. Le premier est publié en 1814, quand l’artiste avait 54 ans. Il remporta tout de suite un vif succès. Ce qui conduit Hokusai a poursuivre son travail. L’artiste croque des paysages, la faune et la flore, des scènes de la vie quotidienne comme des scènes de lutte et d’entrainement aux arts martiaux. D’autres carnets décrivent des épisodes surnaturels qui sont une plongée dans l’inconscient fantastique des japonais.
Hokusai est à l’origine du mot manga. Mais ces dessins n’ont rien à voir avec les mangas tels que nous les connaissons aujourd’hui. L’artiste japonais ne raconte pas une histoire mais traite de sujets indépendants les uns des autres.
Katsushiska Hokusai (1760-1849) est l’un des artistes japonais les plus populaires en Asie et en Europe. Sa renommée a notamment franchi nos frontières avec ses « Hokusai manga ». Des carnets de croquis qui regroupent des milliers de dessins. Un témoignage de la vie japonaise de l’époque, avant l’ouverture vers l’Occident.
Il existe 15 carnets de croquis. Le premier est publié en 1814, quand l’artiste avait 54 ans. Il remporta tout de suite un vif succès. Ce qui conduit Hokusai a poursuivre son travail. L’artiste croque des paysages, la faune et la flore, des scènes de la vie quotidienne comme des scènes de lutte et d’entrainement aux arts martiaux. D’autres carnets décrivent des épisodes surnaturels qui sont une plongée dans l’inconscient fantastique des japonais.
Hokusai est à l’origine du mot manga. Mais ces dessins n’ont rien à voir avec les mangas tels que nous les connaissons aujourd’hui. L’artiste japonais ne raconte pas une histoire mais traite de sujets indépendants les uns des autres.
L’exposition qui se termine le 18 septembre 2016 sera complétée (du 2 avril au 5 juin) par une deuxième partie consacrée aux "Derniers feux de l’estampe japonaise autour de 1854". Des images qui annoncent l’esprit manga du graphisme nippon actuel.
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