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Les poupées japonaises oubliées du muséum d'histoire naturelle de Rouen
Elles dormaient dans ses réserves depuis des années. Le muséum d'histoire naturelle a retrouvé quatorze poupées japonaises du XIXe siècle. Un trésor oublié qu’il va falloir restaurer. Le musée a lancé un appel au mécénat
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Temps de lecture : 1min
Reportage : R.Deh, O.Flavien, M.Canehmez
Le Muséum d'Histoire naturelle de Rouen avait oublié qu'il détenait des poupées japonaises du XIX e siècle avant de s'apercevoir qu'il s'agissait finalement d'un trésor caché.
Ces quatorze poupées, d'une trentaine de centimètres, faites de tissus, de bois, de papier et de porcelaine, avaient été léguées au Musée par l’architecte et collectionneur d’art japonais Jules Adeline. Des poupées très fragiles et très mal conservées durant des dizaines d’années.
Appel aux dons pour la restauration
Produites fin XIXème siècle, ces poupées utilisées pour Hina matsuri, la fête des petites filles au Japon, représentent des personnages de la cour impériale. Le musée du Quai Branly dispose également de septs de ces poupées, elles aussi en attente de restauration.
Une restauration qui coute cher, environ 85 000 euros pour les 14 pièces de Rouen. Le muséum a donc lancé un appel aux dons et au mécénat. 50 000 euros ont déjà été collectés. Des poupées qui rejoindront ensuite un espace asiatique qui devrait voir le jour d’ici la fin de l’année et dont elles seront les pièces maitresses.
Ces quatorze poupées, d'une trentaine de centimètres, faites de tissus, de bois, de papier et de porcelaine, avaient été léguées au Musée par l’architecte et collectionneur d’art japonais Jules Adeline. Des poupées très fragiles et très mal conservées durant des dizaines d’années.
Appel aux dons pour la restauration
Produites fin XIXème siècle, ces poupées utilisées pour Hina matsuri, la fête des petites filles au Japon, représentent des personnages de la cour impériale. Le musée du Quai Branly dispose également de septs de ces poupées, elles aussi en attente de restauration.
Une restauration qui coute cher, environ 85 000 euros pour les 14 pièces de Rouen. Le muséum a donc lancé un appel aux dons et au mécénat. 50 000 euros ont déjà été collectés. Des poupées qui rejoindront ensuite un espace asiatique qui devrait voir le jour d’ici la fin de l’année et dont elles seront les pièces maitresses.
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