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Les trésors des Visitandines de Fribourg exposés pour la première fois en France
C’est une exposition inédite et exceptionnelle que propose jusqu’à la fin de l’année le musée de la Visitation de Moulins. Près de deux cents vêtements liturgiques en soie rebrodée de fils d’or et d’argent retracent le savoir-faire séculaire des sœurs Visitandines de Fribourg en Suisse. Certaines pièces sont exposées au public pour la toute première fois.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : C. Darneuville / J. Lanchas / B. Courtine
Un voyage à travers quatre siècles d’art liturgique. C’est ce que propose le Musée de la Visitation de Moulins dans l’Allier jusqu’au 24 décembre. Mobilier d’argent, reliquaires en bois doré et surtout, près de deux cents vêtements liturgiques du 17e au 20e siècle sont exposés, certains pour la première fois. La plupart de ces habits cérémoniaux sont l’œuvre des Visitandines de Fribourg en Suisse. Une congrégation fondée en 1635 par sainte Jeanne de Chantal, morte à Moulins en 1641. La capitale historique du Bourbonnais était ainsi toute désignée pour accueillir cette exposition, exceptionnelle à bien des égards.
Par la qualité des pièces exposées d’abord. Des chasubles, chapes et dalmatiques en soie rebrodées d’or et d’argent, aux motifs essentiellement floraux qui témoignent du talent et de la sensibilité des sœurs. Par sa valeur historique ensuite. En France, une grande partie des vêtements liturgiques anciens ont été détruits ou endommagés lors de la Révolution.
Un voyage à travers quatre siècles d’art liturgique. C’est ce que propose le Musée de la Visitation de Moulins dans l’Allier jusqu’au 24 décembre. Mobilier d’argent, reliquaires en bois doré et surtout, près de deux cents vêtements liturgiques du 17e au 20e siècle sont exposés, certains pour la première fois. La plupart de ces habits cérémoniaux sont l’œuvre des Visitandines de Fribourg en Suisse. Une congrégation fondée en 1635 par sainte Jeanne de Chantal, morte à Moulins en 1641. La capitale historique du Bourbonnais était ainsi toute désignée pour accueillir cette exposition, exceptionnelle à bien des égards.
Par la qualité des pièces exposées d’abord. Des chasubles, chapes et dalmatiques en soie rebrodées d’or et d’argent, aux motifs essentiellement floraux qui témoignent du talent et de la sensibilité des sœurs. Par sa valeur historique ensuite. En France, une grande partie des vêtements liturgiques anciens ont été détruits ou endommagés lors de la Révolution.
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