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L’Hermione, une réplique tirée "à quatre épingles"
Après une tournée triomphale qui l’a menée de New York à Saint Malo en passant par les fêtes maritimes de Brest, l’Hermione est de retour à son port d’attache, Rochefort. L’occasion pour le public de visiter la réplique de la frégate de La Fayette. Une réplique d’une fidélité incroyable, les costumes notamment, sont la copie conforme de ceux du 18e siècle.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : C.Polet / I.Frohberg / M.Ragot / J.Abgrall
Partout où elle passe, l'Hermione séduit les foules. L'un des secrets de son immense succès c'est la fidélité avec laquelle la frégate de La Fayette a été reproduite. Le chantier, qui a duré 17 ans (de 1997 à 2014), a été mené dans le plus grand respect des règles de construction du 18e siècle. Chaque détail est fidèle à la frégate originale qui vint à l’aide des insurgés américains en 1780. Les costumes notamment ont fait l’objet d’un énorme travail de recherche.
C’est à une véritable enquête historique que s’est livrée Audrey Baudrier, la costumière de l’Hermione. Grâce à des gravures ou des tableaux d’époque, elle a réussi à reconstituer l’identité vestimentaire de chacun des 80 hommes d’équipage de la frégate. Du gabier - ces matelots qui grimpaient dans la voilure - aux officiers dont le moindre galon est à sa place, le sens du détail est impressionnant.
Partout où elle passe, l'Hermione séduit les foules. L'un des secrets de son immense succès c'est la fidélité avec laquelle la frégate de La Fayette a été reproduite. Le chantier, qui a duré 17 ans (de 1997 à 2014), a été mené dans le plus grand respect des règles de construction du 18e siècle. Chaque détail est fidèle à la frégate originale qui vint à l’aide des insurgés américains en 1780. Les costumes notamment ont fait l’objet d’un énorme travail de recherche.
C’est à une véritable enquête historique que s’est livrée Audrey Baudrier, la costumière de l’Hermione. Grâce à des gravures ou des tableaux d’époque, elle a réussi à reconstituer l’identité vestimentaire de chacun des 80 hommes d’équipage de la frégate. Du gabier - ces matelots qui grimpaient dans la voilure - aux officiers dont le moindre galon est à sa place, le sens du détail est impressionnant.
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