Cet article date de plus de quatre ans.

Vidéo "La Tour du diable", un monolithe de 386 mètres de haut

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Il y a 65 millions d'années, naissait cette immense structure dressée au-dessus des plaines du Wyoming. Décor du film "Rencontre du troisième type" de Steven Spielberg, c'est la Devils Tower.
VIDEO. "La Tour du diable", un monolithe de 386 mètres de haut Il y a 65 millions d'années, naissait cette immense structure dressée au-dessus des plaines du Wyoming. Décor du film "Rencontre du troisième type" de Steven Spielberg, c'est la Devils Tower. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Il y a 65 millions d'années, naissait cette immense structure dressée au-dessus des plaines du Wyoming. Décor du film "Rencontre du troisième type" de Steven Spielberg, c'est la Devils Tower.

Cette formation semblant tout droit sortie d'une autre planète est en réalité un monolithe naturel : une structure massive constituée d'un unique bloc de pierre. Il s'est formé il y a environ 65 millions d'années, lorsque du magma refroidissant s'est concentré en colonnes hexagonales. Pour observer ce paysage étonnant, il faut se rendre dans le Wyoming.

Cette roche de 386 mètres de hauteur se dresse au-dessus des plaines américaines peuplées de bisons et de chiens de prairie. Elle attire chaque année 500 000 touristes, venant profiter des panoramas et des randonnées. Elle est également appréciée des amateurs d'escalade.

Une renommée internationale

Protégée depuis 1906, c'est le premier monument national créé aux États-Unis. Elle a ensuite atteint une renommée internationale après avoir servi de décor pour le film "Rencontres du 3ème type", de Steven Spielberg. Officiellement nommée la "Tour du Diable", son appellation fait débat. Les Amérindiens de la région appellent ce lieu sacré "l'Abri de l'Ours". En 2005, une proposition visant à renommer l'endroit "Monument National Historique de l'Abri de l'Ours" s'est heurtée à une opposition du Parti Républicain.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.