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Vidéo "20h30 le dimanche" : le portrait du judoka Teddy Riner

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 3 min
"20h30 le dimanche" : le portrait du judoka Teddy Riner
"20h30 le dimanche" : le portrait du judoka Teddy Riner "20h30 le dimanche" : le portrait du judoka Teddy Riner
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Un géant de 2,03 mètres qui pèse 149 kilos… ou plutôt 160 kilos à l’issue de son année sabbatique. Le judoka Teddy Riner est bien décidé à perdre ce petit surpoids pour défendre son titre aux prochains Jeux olympiques de Tokyo en 2020... Extrait du magazine "20h30 le dimanche" du 6 décembre 2019.

Le judoka français Teddy Riner, qui était sur le plateau du magazine "20h30 le dimanche" (Facebook, Twitter, #20h30LDanimé en direct par Laurent Delahousse, a repris l’entraînement en vue des Jeux olympiques de 2020 qui se dérouleront au Japon.

C’est le poids lourd du sport français : double champion olympique (2012 ; 2016), dix titres de champion du monde, cinq de champion d’Europe et invaincu depuis 144 combats ! Un colosse de 2,03 mètres qui chausse du 49,5 et pèse 149 kilos… ou plutôt 160 kilos, à l’issue de son année sabbatique : "Les vacances ont été bonnes… Maintenant, il faut se remettre à niveau."

Ses adversaires japonais "en train de mettre un plan en place" pour le battre

Teddy Riner, 29 ans, a l’habitude de transpirer pour tout gagner. Il a même préparé son baccalauréat comme un combat : "Le bac, il me le faut…. Je suis prêt à tuer pour l’avoir", disait-il en riant en travaillant devant son ordinateur. Et le grand Teddy ne tient pas en place depuis qu’il est tout petit. Sa maman lui faisait enchaîner toutes les activités sportives possibles pour bien le fatiguer…

Le judoka acharné s’entraîne jusqu’à six heures par jour. Et aujourd’hui, qui peut battre Riner ? Tout un pays se pose cette question : le Japon. Le Français y est retourné le mois dernier, histoire de se jauger, mais il s’est surtout senti observé. Pour l’entraîneur principal de l’université japonaise de Kokushikan, "l’objectif du Japon n’est pas de trouver un, mais plusieurs judokas capables de le battre. On est même en train de mettre un plan en place".

> Un portrait signé Grégory Naboulet.

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