Cet article date de plus de six ans.

Vidéo L'engagement humanitaire en Afrique de Daniel Balavoine se poursuit plus de trente ans après sa mort

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 2 min
VIDEO. L'engagement humanitaire en Afrique de Daniel Balavoine se poursuit plus de trente ans après sa mort
VIDEO. L'engagement humanitaire en Afrique de Daniel Balavoine se poursuit plus de trente ans après sa mort VIDEO. L'engagement humanitaire en Afrique de Daniel Balavoine se poursuit plus de trente ans après sa mort
Article rédigé par France 2
France Télévisions
France 2

Daniel Balavoine s'est engagé ici et ailleurs contre toutes les injustices, toutes les exclusions. Le 14 janvier 1986, il trouve la mort en Afrique alors qu'il installe des pompes à eau hydrauliques dans des villages en marge du rallye Paris-Dakar… L'"association Daniel-Balavoine" y est toujours active... Extrait de "13h15 le dimanche" du 3 juin (rediffusion).

Au début de l'année 1986, Daniel Balavoine se trouve sur le rallye Paris-Dakar, non pas en concurrent comme en 1983 et 1985, mais en tant qu'ambassadeur de Paris du cœur, une action humanitaire destinée à installer des pompes à eau hydrauliques dans des villages africains en profitant de la logistique de la course.

"Tous les gens, à un moment de leur vie, ont envie de faire quelque chose. C'est quand on a envie qu'il faut le faire. Peut-être que dans un an ou deux, je n'aurai plus envie pour diverses raisons, je ne sais pas… Devant l'impuissance… parce que c'est une goutte d'eau dans le désert", affirme, en marge du rallye, le chanteur en t-shirt rouge barré du nom du groupe Téléphone.

Son combat solidaire continue

Le 14 janvier 1986, l'auteur de la chanson L'Aziza prend un hélicoptère de l'organisation pour rejoindre le bivouac. Une tempête se lève, l'appareil s'écrase et ses cinq occupants trouvent la mort. "Les gens ont été choqués par la mort de ce chanteur en pleine ascension", se souvient Olivier Chavarot, le réalisateur du clip de la chanson à succès sortie en octobre 1985.

"C'était tellement peu concevable qu'un petit gars de 33 ans comme lui, avec tant de talent et de force… On ne prévoit jamais la mort de quelqu'un, témoigne aujourd'hui Claire, l'une de ses sœurs, mais soit on meurt de chagrin, soit on perd la tête. Après la sidération, je me suis retrouvée debout et vivante. Alors, je vis !" Avec l'association Daniel-Balavoine, elle poursuit toujours son engagement humanitaire en Afrique. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.