: Vidéo Non, Nicolas Bedos n'a pas eu de liaison avec l'ex-Première dame Valérie Trierweiler
Lors de l'émission "Un soir à la tour Eiffel", mercredi sur France 2, l'humoriste a fait croire qu'il avait écrit un livre dans lequel il racontait cette relation amoureuse de plusieurs mois. Il s'agissait d'un canular, révélé en fin d'émission.
C'est "sa réponse à la peopolisation" de la politique. Invité de l'émission "Un soir à la tour Eiffel" sur France 2, mercredi 8 octobre, Nicolas Bedos a fait croire, avec la complicité de la production, qu'il avait eu une liaison avec Valérie Trierweiler, et qu'il la dévoilait dans un livre. "Une grosse connerie", a finalement révélé l'humoriste en toute fin d'émission. Francetv info revient en acte sur ce canular à grande échelle.
Acte 1 : "Les serments déchirés"
Dans ce faux roman intitulé Les serments déchirés, l'humoriste fait croire qu'il révèle sa relation de 17 mois avec Valérie Trierweiler. Il aurait écrit ce livre pour raconter une idylle passionnelle avec l'ex-Première dame, répudiée par François Hollande. Nicolas Bedos joue une scène écrite à l'avance, devant une Alessandra Sublet complice. Le chroniqueur littéraire Nicolas Rey vient même lire un passage décrivant une scène d'amour, sur le plateau.
Acte 2 : blague pour les uns, horreur pour les autres... Twitter s'emballe
Sans surprise, le canular en a piégé certains, comme Christine Boutin. Sur Twitter, la présidente d'honneur du Parti chrétien démocrate était particulièrement remontée.
# Bedos :écœurement jusqu'à vomir! décidément #PS n'ont comme nouvelles idées que des histoires de c...,de trahison, à dévoiler ! Décadence
— christine Boutinن (@christineboutin) 8 Octobre 2014
Outre decadence,la révélation #bedos de ce soir prouve 1 nelle fois qu'il n'y a plus aucune séparation entre vie publique et vie privée!
— christine Boutinن (@christineboutin) 8 Octobre 2014
D'autres ont tout de suite flairé la blague.
Idylle entre Nicolas Bedos et @valtrier raconté par l'intéressé sur @France2tv, un canular bien sûr !
— Jean-François Guyot (@JFGuyot) 8 Octobre 2014
Le Parisien a même contacté la principale intéressée, Valérie Trierweiler, qui a démenti.
Acte 3 : "Une grosse connerie" dévoilée en fin d'émission
Le suspens aura duré jusqu'au générique de fin. Alessandra Sublet et Nicolas Bedos se retrouvent alors seuls en plateau pour révéler cette "grosse connerie". Pour l'humoriste il s'agit de "sa réponse à la peopolisation" de la politique. Il termine avec cette ultime justification : "Valérie Trierweiler n'est pas du tout mon genre".
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