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Le cirque fait son show aux Nuits de Fourvière
C’est devenu une tradition : chaque année les Nuits de Fourvière font une place au cirque. Une place grandissante depuis 2011. Il y a les habitués de l’événement comme la compagnie Les sept doigts de la main et puis il y a les petites nouvelles : Tania Sheflan en fait partie. L’artiste israélienne accueille le public dans sa yourte jusqu’au 13 juin.
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Reportage : S.Adam / L.Crozat / C.Tremosa / S.Trentesaux
Bienvenue au paradis, bienvenue dans l’univers intimiste de Tania Sheflan et de sa compagnie, "Attention fragile". "Tania’s paradise" - c’est le titre du spectacle de la jeune israélienne - est une jolie rencontre. A l’ombre de l’amphithéâtre romain qui accueille la plupart des spectacles, l’artiste a planté sa yourte sur l’esplanade de l’Odéon. Un espace réduit, une scène minuscule et tout près, les spectateurs invités à écouter l’histoire de Tania, un peu comme au cours d’une veillée autour du feu. Ici pas de performance spectaculaire mais la poésie d’un corps qui se contorsionne au gré des souvenirs d’enfance à Tel-Aviv, puis de l’exil.
Cette approche poétique, c’est aussi celle adoptée par le collectif "Les sept doigts de la main". Invitée pour la première fois en 2011, la troupe est depuis devenue une habituée des Nuits de Fourvière. Cette année, les artistes se sont associés à trois chorégraphes (Marie Chouinard, Victor Quijada, Marcos Morauqui) qui ont imaginé un "Triptyque" aux confins du cirque et de la danse. Un spectacle qui défie les lois de la gravité, une gravité combattue au profit de la légereté et de l’humour.
"Triptyque" est encore donné au Grand Théâtre de Fourvière ce dimanche 5 juin à partir de 21h30. Quant à "Tania’s Paradise", le spectacle se poursuit jusqu’au 13 juin sur l’esplanade de l’Odéon.
Bienvenue au paradis, bienvenue dans l’univers intimiste de Tania Sheflan et de sa compagnie, "Attention fragile". "Tania’s paradise" - c’est le titre du spectacle de la jeune israélienne - est une jolie rencontre. A l’ombre de l’amphithéâtre romain qui accueille la plupart des spectacles, l’artiste a planté sa yourte sur l’esplanade de l’Odéon. Un espace réduit, une scène minuscule et tout près, les spectateurs invités à écouter l’histoire de Tania, un peu comme au cours d’une veillée autour du feu. Ici pas de performance spectaculaire mais la poésie d’un corps qui se contorsionne au gré des souvenirs d’enfance à Tel-Aviv, puis de l’exil.
Cette approche poétique, c’est aussi celle adoptée par le collectif "Les sept doigts de la main". Invitée pour la première fois en 2011, la troupe est depuis devenue une habituée des Nuits de Fourvière. Cette année, les artistes se sont associés à trois chorégraphes (Marie Chouinard, Victor Quijada, Marcos Morauqui) qui ont imaginé un "Triptyque" aux confins du cirque et de la danse. Un spectacle qui défie les lois de la gravité, une gravité combattue au profit de la légereté et de l’humour.
"Triptyque" est encore donné au Grand Théâtre de Fourvière ce dimanche 5 juin à partir de 21h30. Quant à "Tania’s Paradise", le spectacle se poursuit jusqu’au 13 juin sur l’esplanade de l’Odéon.
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