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Coccinelle, égérie transgenre des années 50 a désormais sa promenade à Paris
Quinze ans après sa mort, Coccinelle entre dans l’Histoire. Dans le 18e arrondissement de Paris, une promenade porte désormais le nom de cette artiste transgenre, pionnière dans la lutte pour les droits des homosexuels. Une première en Europe qui braque les projecteurs sur une cause plus que jamais d’actualité.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : J. Mirande / N. Loncarevic / P. Noublanche
Coccinelle rentre chez elle. C’est ici, à deux pas de la promenade qui porte désormais son nom, que l’artiste transgenre a fait ses premiers pas sur scène. Nous sommes au début des années 50, la jeune femme, qui est toujours Jacques Dufresnoy pour l’état civil, intègre la troupe de travestis de "Madame Arthur", l’un des cabarets les plus célèbres de Paris.
Une première consécration pour la jeune femme de 22 ans qui a déjà dû mener de nombreux combats.
Coccinelle rentre chez elle. C’est ici, à deux pas de la promenade qui porte désormais son nom, que l’artiste transgenre a fait ses premiers pas sur scène. Nous sommes au début des années 50, la jeune femme, qui est toujours Jacques Dufresnoy pour l’état civil, intègre la troupe de travestis de "Madame Arthur", l’un des cabarets les plus célèbres de Paris.
Une première consécration pour la jeune femme de 22 ans qui a déjà dû mener de nombreux combats.
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