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Nîmes : les plus grands artistes du Flamenco immortalisés par le photographe Jean-Louis Duzert

A l'occasion du festival de Flamenco de Nîmes, le musée des Cultures taurines accueille l'exposition photos de Jean-Louis Duzert qui retrace dix années de festival. Et jusqu'au 20 janvier 2018, rendez-vous avec les plus grands musiciens et danseurs de flamenco. A l'image du spectacle "Pasionaria" qui résonne de l'écho de la guerre d’Espagne.
Article rédigé par Odile Morain
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Jean-Louis Duzert photographe officiel du festival de Flamenco de Nîmes depuis 10 ans
 (France 3 / Culturebox )

Au festival de Flamenco de Nîmes (11-20 janvier 2018), il y a des danseurs, des musiciens et tous les passionnés de la culture andalouse. Jean-Louis Duzert est de ceux-là. Depuis 10 ans il assure la difficile mission de "photographe officiel du festival de Flamenco de Nîmes". Il a photographié tous ceux qui comptent sur la planète flamenca.

Cinquante photos qui symbolisent l'amitié entre Jean-Louis Duzert et les artistes. Une complicité qui débouche parfois sur des images intimistes, comme ce portrait de la danseuse Rocio Molina, qui offre son corps dénudé à l'objectif du photographe. 

Reportage : J. Curato / P. Barbes / S. Huc
Présentée au Musée des Cultures taurines, l'exposition prolonge le plaisir du flamenco jusqu'au 28 janvier 2018.

Un programme alléchant

Comme chaque année, la programmation du festival de Flamenco propose un panorama riche de création contemporaine tant musicale que chorégraphique. Andres Marín a ouvert les festivités avec son nouveau spectacle "Don Quixote", côté danse on attend encore Israel Galvan (les 19 et 20 janvier).

La musique tient une grande place dans le festival et ravit les amateurs du genre. Le spectacle "Pasionaria" monté par la chanteuse Clara Tudela, le pianiste Raphaël Lemonnier, le guitariste Gregorio Ibor Sanchez et le metteur en scène Marc Paquien, raconte l'histoire de la guerre d'Espagne. Une blessure encore ouverte pour les enfants et petits-enfants de ceux qui ont combattu ou fui leur pays. 

Reportage : A. Martiniky / P. Trouillet / G. Giordano
A suivre côté musique, Mari Peña qui perpétue la tradition des grandes voix féminines de la dynastie gitane, Luis Moneo et Antonio, deux grands chanteurs, deux générations, qui s’imposent partout avec éclat et vérité. Le chanteur David Carpio offre le 18 janvier un tour de chant accompagné à la contrebasse ou à la guitare. La très belle et explosive Fabiola Perez (dite Fabi) refermera l'édition 2018.

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