Cet article date de plus de six ans.
Le Festival international de théâtre de rue d'Aurillac joue "collectifs"
Référence mondiale du théâtre de rue, le festival international d’Aurillac attire chaque année fin août près de 120.000 spectateurs pendant quatre jours dans le centre-ville. Mais plus seulement, depuis quelques éditions, des compagnies se regroupent en périphérie pour proposer une offre différente et se distinguer parmi les 650 troupes présentes cette année.
Publié
Temps de lecture : 1min
Cours d’écoles, terrains de sport, parcs et jardins, préférés par les troupes aux rues du centre-ville. Un comble pour un festival de théâtre de rue, mais c’est la tendance à Aurillac. Les compagnies se regroupent en collectifs pour gagner en visibilité et créer des lieux singuliers qui plaisent aux festivaliers.
Et ils sont cette année plus d’une trentaine de collectifs à s’être installés à l’écart du centre-ville. Des compagnies, réunies pour l’occasion, qui s’emparent d’un lieu et le transforment le temps du festival en un univers décalé, festif et convivial, à l’écart du centre-ville. Des mondes éphémères de plus en plus appréciés par les spectateurs qui y trouvent une atmosphère particulière.
Et ils sont cette année plus d’une trentaine de collectifs à s’être installés à l’écart du centre-ville. Des compagnies, réunies pour l’occasion, qui s’emparent d’un lieu et le transforment le temps du festival en un univers décalé, festif et convivial, à l’écart du centre-ville. Des mondes éphémères de plus en plus appréciés par les spectateurs qui y trouvent une atmosphère particulière.
Reportage : L. Pastural / V. Riffard / L. Janin / B. Ordas
33e édition
Le festival d’Aurillac est considéré depuis longtemps comme l'un des rendez-vous majeurs du théâtre de rue dans le monde. Un festival autoproclamé irrévérencieux, où tout est permis et qui défend la liberté de créer, et pour les spectateurs, la liberté de voir, de découvrir.
Pour Thierry Voisin, journaliste à Télérama et habitué d’Aurillac, si au fil du temps, le rendez-vous cantalien s’est mué en "marché" où se croisent, discutent et négocient les professionnels, "cela n’a pas enlevé l’énergie ni le côté bordélique" du festival créé en 1986 par Michel Crespin.
Pour Thierry Voisin, journaliste à Télérama et habitué d’Aurillac, si au fil du temps, le rendez-vous cantalien s’est mué en "marché" où se croisent, discutent et négocient les professionnels, "cela n’a pas enlevé l’énergie ni le côté bordélique" du festival créé en 1986 par Michel Crespin.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.